L' Antimatiere se fabriquera avec l' Antigravitation
Des atomes d'antimatière capturés - Fondamental - Sciences et Avenir
Pour pouvoir étudier la nature de toute ses Antiparticules , il faudrait peut - être les fabriqués dans un champs Antigravitationnel qui en ralentirait assez la vitesse . Et je pense que se système Antigravitationnel enveloppé de champs magnétique permettrait d' emmagasiner l ' Antimatiere . Voir les deux liens suivants
Antigravitation . Faisceau magnétique tracteur - Paranovni
Qu' est - ce que l' Antimatière
La chaise sur laquelle vous êtes assis, vous-même : toute la matière que nous connaissons est formée d'atomes, assemblages très structurés de protons, de neutrons et d'électrons. Mais notre Univers contient aussi des antiparticules : lorsqu'une particule, par exemple l'électron, rencontre l'antiparticule correspondante, le positon, elles s'annihilent mutuellement en libérant de l'énergie. Toutefois, les antiparticules sont à la fois beaucoup plus rares que les particules, et beaucoup moins organisées : on n'a jamais observé d'antiatomes naturels, par exemple. L'étude de tels systèmes serait pourtant bien utile pour la compréhension des différences exactes entre matière et antimatière.
LES RECHERCHES SUR L ' ANTIMATIERE
C'est pourquoi, dès les années quatre-vingt-dix, une équipe du Laboratoire européen pour la physique des particules (CERN) s'est attaquée à la fabrication de l'antiatome le plus simple : l'antihydrogène. Comme l'hydrogène est formé d'un proton et d'un électron, l'antihydrogène contient seulement un antiproton et un positon. À la fin 1995, la grande première est annoncée : neuf atomes d'antihydrogène ont été fabriqués, et détectés . D' autres équipes à travers le monde se sont lancer à la quète de se saint Graal .
Et cette recherche sur la production et le stockage de l’antimatière s’améliore rapidement au cours du temps : ainsi aujourd’hui on est capable de créer de l’antimatière, en utilisant notamment les accélerateurs de particules . Les accélérateurs de particules, en projetant des particules l’une contre l’autre, entraînent la formation d’antiprotons et de Positrons (des antiélectrons). Il est désormais possible de les isoler des autres particules via une méthode complexe, puis de les piéger dans un champs magnétique sous vide .
Des chercheurs ont déjà stocké ainsi des millions d’antiparticules dans des réservoirs pendant une semaine. La difficulté du stockage semble a priori réglée, les temps de stockage s’améliorant rapidement, ainsi que le savoir-faire permettant de produire les quantités suffisantes requises par le besoin des expériences, (mais en aucun cas en tant que stockage d’énergie). Cependant, ces antiparticules étant à grande vitesse après leur création, il faut les ralentir très fortemnt pour obtenir des antiatomes faciles à étudier : ce processus n’est pas encore résolu.
La gravitation à l'envers
L'autre grande interrogation à laquelle une production massive d'antiatomes permettrait de répondre concerne l'action de la gravitation sur l'antimatière. S'ils réussissent à ralentir assez ces antiatomes, les physiciens verront comment ils tombent sous l'effet du champ de gravitation de la Terre. À moins qu'ils ne les voient monter...
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