Paranovni - Sciences Parallèles

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INSOLITE


USA . Mystère des Géants à la chevelure rouge

 

 

Les archéologues ont  découvert il y a un ans que le mythe des Indiens Paiutes des « géants qui mangeaient les hommes » pouvait être basé sur une certaine réalité.
Les Paiutes, un groupe d’indigènes Natives Américains qui habitaient les régions du Nevada, de
l’Utah et de l’Arizona, racontèrent aux premiers immigrants blancs que leurs ancêtres avaient dû se
battre dans le passé contre de féroces géants de race blanche et à la chevelure rouge qui vivaient sur
les mêmes territoires.
Les Paiutes nommaient ces géants Si-Te-Cah ce qui signifie les « mangeurs de tule ». La tule est
une plante aquatique fibreuse que les géants récoltaient à partir des radeaux qu’ils utilisaient pour se
déplacer sur les rivières et principalement sur le lac Lahontan.
Selon les Paiutes, les géants aux cheveux rouges mesuraient plus de trois mètres de haut et ne
pouvaient être approchés. Ils chassaient les Paiutes et mangeaient ceux qu’ils capturaient. Aussi, les
différentes tribus Paiutes s’unirent-elles pour les combattre et les chasser à leur tour.
La légende raconte que les géants durent se réfugier dans une grotte pour échapper aux Indiens. Le
chef des Paiutes ordonna d’obstruer l’entrée de cette caverne avec des branchages et d’y mettre le feu
afin d’obliger les géants à sortir de leur refuge. Ceux qui sortirent furent tués par les flèches des
Indiens, les autres moururent asphyxiés à l’intérieur de la grotte. Bien plus tard un tremblement de
terre ferma par des éboulis l’entrée de cette caverne.

 

Plusieurs centaines d’années après, les archéologues viennent d’explorer cette caverne, située prèsde Lovelock dans le Nevada, là où la légende la situait.

A l’intérieur de la grotte les fouilleurs ont mis au jour des milliers d’objets et les restes momifiés de
deux géants aux cheveux roux, une femme mesurant plus de 2,30 m et un homme dépassant
2,80 m.

La légende se trouva également confirmée par la présence de nombreuses pointes de flèches brisées
ayant heurté les parois de la caverne et d’une couche noire de végétaux brûlés recouvert d’une
épaisse couche de guano.

(Source : Scott)


18/04/2012
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Dragon . Etrange photo ?

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C’est en développant les photos qu’il se rendit compte qu’en bas a gauche d’une de ses photos l’on pouvait apercevoir deux corps allongés, tout les deux semblant recouvert d’écailles, le corps semblant s’affiner pour se terminer en pointe. Le corps semble assez serpentiforme ressemblant assez à la représentation classique des dragons asiatiques tel que l’on peut en voir dans les gravures. Hélas il n’y a qu’une photo et on ne voit que l’extrémité arrière de ces créatures.

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Gros plan des Dragons

Pour les chinois les dragons sont des créatures célestes très rare, et les légendes racontent qu’ils ont le don de disparaître et d’apparaître. Les dragons en Chine sont des créatures très importante, et on voit souvent des représentations de ces créatures pendant les fêtes traditionnelles. De façon classique le dragonchinois à le corps d’un serpent, les écailles et la queue d’un poisson des bois de cerf, la face d’un quilin (sorte de créature mythique ressemblant à un Daim), des serres d’aigles et des yeux de démon. Il semble que ces créature volent généralement au milieu des nuages. Même si nous sommes dans une description de créature mythique, il semble bien que dans le cas de cette photo, la description semble en tout point correspondre…

Au cours des siècles en Chine il y a eut de nombreux témoignage de gens ayant vu des dragon, même assez récemment pendant le mois d’août 1944 des témoins ont affirmé avoir vu un dragon noir s’écraser sur le village de Weizi. La famille Chen qui possédait ce village affirmait que ce dragon sentait le poisson et qu’il possédait des écailles un peu comme ceux des photos.



02/03/2012
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Le plus gros insecte du monde

 

Un explorateur américain vient de découvrir ce qui pourrait être le plus gros insecte jamais enregistré au monde.

On les appelle les Weta géant. Cet insecte ressemble fortement à un criquet sauf qu’il est beaucoup plus grand. Et celui-ci l’est davantage encore que ses congénères. En effet, il mesure pas loin de 20 centimètres et pèsent autant que trois souris, nous apprend The Sun.

C’est un ancien garde forestier du nom de Mark Moffett (55 ans) qui a fait cette incroyable découverte dans un arbre sur l’île de Little Barrier en Nouvelle-Zélande. L’homme s’était rendu là-bas avec une équipe d’explorateurs pour tenter de retrouver la trace de ces insectes que l’on croyait disparus de cet endroit depuis que les Européens y avaient apporté des rats quelques années plus tôt.

“Nous avons passé de nombreuses heures à chercher en vain”, confie-t-il. “Soudain, on en a vu un dans un arbre”. Et lequel! “Le Weta géant est déjà le plus gros insecte du monde mais celui-ci est le plus gros spécimen jamais découvert”, confirme-t-il. L’insecte a même englouti une carotte.

Après avoir pris la photo, Mark et son équipe ont décidé de relâcher cet incroyable insecte.

(Source : CB)


03/12/2011
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La Boussole des Viking . Un cristal polarisant

 

 

 

 

 

 

 

http://www.dailymotion.com/video/xm5t4n_la-pierre-de-soleil-des-vikings_travel

Un artefact de la mythologie nordique, guidant les navigateurs vikings, existerait bel et bien sous la forme d’une roche

La « pierre de soleil ». Une pierre capable d’indiquer la direction du soleil même par temps couvert a longtemps été considérée par la communauté scientifique comme une légende, basée sur la mythologie scandinave. Celle-ci aurait eu le pouvoir de guider les navigateurs vikings, et ce jusqu’à l’Islande et même les États-Unis aux environs de l’an 1000.

 

Il aura fallu plus de dix ans de recherches à deux Français et leur équipe pour que l’énigme des navigateurs vikings soit enfin résolue. « La légende de la pierre de soleil nous avait toujours intrigués, nous raconte Albert Le Floch, l’un des chercheurs, de l’université Rennes-I. Grâce aux sagas scandinaves qui sont des écrits du XIIe siècle, on sait que les Vikings ont parcouru des milliers de kilomètres en mer entre les IXe et Xe siècles. Ils partaient de la Norvège, passaient par l’Islande, le Groenland, puis le nord du Canada. Jusqu’à arriver aux Etats-Unis vers l’an 1.000, soit cinq siècles avant Christophe Colomb ! Or la boussole n’a été inventée qu’en 1300. On s’est donc toujours demandé comment ils faisaient pour se repérer en pleine mer sur d’aussi longues distances, dans des conditions climatiques parfois très dures – neige, brume, long crépuscule… »

Les sagas scandinaves évoquent à plusieurs reprises une pierre mystérieuse qui les aurait guidés en mer. « On lit que l’un des rois se saisissait d’un cristal à l’avant du bateau, le pointait au zénith devant lui et trouvait ainsi la direction à suivre », poursuit Albert Le Floch. Ainsi, les Vikings auraient utilisé ces « pierres de soleil », regardant au travers pour détecter la position exacte de l’astre, invisible à l’œil nu, et en déduire ainsi le cap de leur navire. Les légendes qui les mentionnent ne donnent toutefois aucune indication quant à la nature de ces pierres fabuleuses, dont aucune n’a jamais été formellement identifiée dans les vestiges archéologiques.

Le "spath d’Islande"

Selon Guy Ropars, coauteur de l’étude avec Albert Le Floch, cette mystérieuse pierre ne serait autre qu’un « spath d’Islande », un cristal de calcite transparent relativement courant en Scandinavie, au Mexique et au Brésil, et qui est encore actuellement utilisé dans certains instruments optiques. Ce cristal a en effet la propriété de « dépolariser » la lumière du soleil, c’est-à-dire de la filtrer différemment selon la façon dont on oriente la pierre. Concrètement, si on regarde la lumière au travers du cristal, il produit deux images différentes, l’une « ordinaire » et l’autre « dépolarisée ». « Lorsque l’on tourne le cristal sur lui-même jusqu’à ce que les intensités des deux images soient strictement égales, alors le cristal indique directement la direction du soleil, y compris dans des conditions de luminosité crépusculaires. Si l’on a une notion de l’heure, alors on peut savoir, en fonction de la position de l’astre, où se trouve le nord, assurent les deux physiciens. L’explication scientifique de ce phénomène est très complexe, mais son utilisation est très aisée. Les Vikings ont donc pu tout ignorer de la physique et de la polarisation, et se servir sans problème de cette pierre pour naviguer. On peut penser qu’ils avaient des sabliers de six heures pour avoir une notion du temps à bord. »

Une seule pierre découverte

En 2003, un cristal de calcite a été découvert à bord d’une épave britannique du XVIe siècle, au large de l’île anglo-normande d’Aurigny, Anderley pour les Anglais. Le cristal a résisté plus de quatre siècles sous l’eau. Sa géométrie est restée intacte, seule sa surface était devenue opaque. Il est en ce moment même analysé dans un laboratoire de Rennes. Les scientifiques pensent que les navigateurs à bord de ce bateau pourraient, eux aussi, avoir utilisé ce calcite comme une pierre de soleil. Etrange, puisque la boussole était connue des navigateurs européens depuis le XIIIe siècle… Pas tant que cela, selon Albert Le Floch. « Nous avons découvert à Aurigny qu’un seul des canons remontés de l’épave peut, à cause de sa masse métallique, perturber l’orientation du compas magnétique de 90 degrés. Ainsi, pour éviter toute erreur de navigation lorsque le soleil est en partie caché, le recours à un cristal de calcite pouvait être crucial, même à cette époque. » Il reste désormais aux archéologues à fouiller certains endroits pour retrouver ces pierres originelles et confirmer définitivement leur existence au temps des Vikings.



29/11/2011
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L' arbre de vie de Bahrein . Un mystère de la nature

L'arbre de vie

Il est l'un des phénomènes les plus remarquables au monde : "l'Arbre de vie" du Bahrein s'élève fièrement au milieu du désert, à des kilomètres des sources d'eau et des zones de végétations. Comment fait-il pour survivre ? La question se pose depuis plusieurs années déjà.

Pour les habitants du Bahreïn, pays situé sur un archipel du golfe Persique au Moyen-Orient, ce n'est pas juste "un arbre". Vieux de 400 ans et mesurant près de 10 mètres de haut, "l'Arbre de vie" se dresse seul au milieu du désert, à environ deux kilomètres de Jebel Dukhan, le point le plus élevé du pays. Sa survie miraculeuse au milieu de nulle-part et dans des conditions aussi difficiles pousse la population du Bahreïn à penser qu'il s'agit-là de l'unique vestige du mythique jardin d'Eden. Et pour cause ? Sa source d'eau demeure toujours un mystère.

Les biologistes et scientifiques qui sont venus examiner l'arbre sont restés perplexes. Et malgré plusieurs théories, son existence et sa survie dans le désert sont toujours une énigme. Ainsi, certains pensent que les racines de cet arbre, baptisé Sharajat-al-Hayat, s'étendent très loin mais surtout dans les profondeurs, où des sources d'eau encore inconnues viendraient l'alimenter. Mais jusqu'ici personne n'a pu prouver cette hypothèse.

Alors que les habitants du Bahreïn pensent avoir trouvé l'endroit où se situait le jardin d'Eden, les bédouins - nomades de culture arabe vivant dans des régions désertiques du Moyen-Orient - sont convaincus que cet arbre légendaire a été béni par Enki, un dieu de la mythologie sumérienne, associé avant tout à l'eau.

Le Sharajat-al-Hayat est l'une des "attractions" les plus célèbres du Bahreïn. Les touristes se bousculent pour admirer ce mystère de la nature. Mais ces dernières années, ces visites, non surveillées, manquent parfois de respect. Arrivés au pied de l'arbre, plusieurs reporters ont été déçus en découvrant que certains visiteurs gravaient leur nom sur le tronc. Pire, des bombes de peinture sont utilisées



18/02/2011
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