Paranovni - Sciences Parallèles

Paranovni -  Sciences  Parallèles

l ' arche de Noé redecouverte .

http://www.dailymotion.com/video/xcapes_les-archives-oubliees-l-arche-de-no_news

http://www.dailymotion.com/video/xcasd8_les-archives-oubliees-l-arche-de-no_news

http://dossiermystere23.unblog.fr/.../a-la-recherche-de-larche-de-noe

La Genèse* raconte que Yahvé décida du Déluge en raison de la perversité des hommes. Toutefois, Noé et sa famille, seuls justes à ses yeux, seraient épargnés. Il ordonna donc à Noé de construire une barque assez grande pour y faire monter un couple de chaque espèce animale avec lui et sa famille.

Les dimensions de l'arche décrites dans la Bible correspondent à 137 mètres de long, 26 mètres de large et 16 mètres de haut. Une fois l'arche terminée, la pluie tomba sans arrêt pendant quarante jours.

L'arche s'échoua sur le mont Ararat, massif volcanique de la Turquie orientale, et l'eau diminua lentement. Noé sut que l'épreuve était terminée lorsque la colombe revint avec un rameau d'olivier. Yahvé demanda alors à Noé de repeupler la Terre. Tous les humains seraient les descendants de Noé.

.

.

.

.

.

.



Suite...


Photo 1: Ancre de pierre
Photo 2: Rivet métallique fossilisé




Suite...

En juillet 1840, une éruption soudaine ouvre une brèche sur les flancs de l'Ararat : une coulée de lave anéantit le village de Ahora, situé sur le flanc nord-est de la montagne. À la suite de cette catastrophe, les autorités turques envoient des équipes d'ouvriers dans la montagne pour établir des barrages de protection. L'une d'elles découvre alors, à fleur d'un glacier, «les restes d'un très grand navire dont la partie accessible était divisée en trois chambres».
1856 :Trois savants britanniques font l'ascension de l'Ararat. Ce sont des incrédules; ils ont entrepris leur expédition, un peu dans l'intention de démontrer le caractère mythologique du récit du déluge. C'est un été particulièrement chaud : la glace a fondu de façon inhabituelle dans la partie supérieure de la montagne. À leur étonnement, les trois alpinistes tombent fortuitement sur les vestiges d'un très grand navire bloqué dans les glaces. Ils peuvent même entrer dans le bateau et en explorer l'intérieur. Furieux de leur trouvaille, ils essaient de la détruire, mais le bois refuse de brûler. Il est aussi trop dur pour qu'ils puissent en arracher les parties. Les trois savants s'engagent alors sous serment à ne jamais faire allusion à leur découverte. Deux arméniens, un père et son fils de 16 ans, les ayant accompagnés dans cette ascension, ils les contraignent à garder le silence, les menançants même de torture si, par la suite, ils devaient trahir leurs promesses.

De nombreuses années s'écoulèrent mais les deux arméniens n'oublièrent pas. Puis le père mourut et Haji, le fils, fut gagné à l'Évangile par un missionnaire venu dans la région. Au moment des persécutions turques contre les Arméniens, Haji émigra aux États-Unis. Affecté d'une grave dysentrie, il fut transporté d'urgence à l'hopital d'Oakland, en Californie; là, il rencontra le pasteur Harold Williams, fonctionnant comme infirmier dans l'établissement. Croyant sa dernière heure arrivée, Haji raconta l'histoire, vieille de soixante ans. Au moment même, Williams n'y prêta pas trop attention. Mais en 1918, un journal à grand tirage publia un récit évoquant la même découverte; c'était le témoignage de l'un des trois savants britanniques corroborant les faits. Le dernier survivant de l'expédition était devenu croyant à la fin de sa vie et faisait amende honorable en racontant son expérience de 1856, ce qui suscita, un peu partout, un vif intérêt.

1876 :James Bryce, membre de la Société de Géographie Royale de Londres, fait l'ascension du Mont Ararat et aperçoit parmi des blocs de lave, «une pièce de bois d'environ 1 mètre de long et 20cm d'épaisseur, visiblement taillée à l'aide d'un outil». De retour en Angleterre, il raconte sa trouvaille à la Société de Géographie. Cependant, un célèbre orientaliste, Sir Henry Rawlinson, le tourne en ridicule devant toute l'assistance, prouvant par des arguments apparemment irréfutables que l'Arafat de la Bible ne saurait correspondre au Grand-Ararat de la Turquie orientale.

En 1883 : une avalanche dévaste les flancs de la célèbre montagne. Le gouvernement turc ordonne une enquête et fait appel à un glaciologue britannique nommé Gascoyne. Lors d'une excursion, l'explorateur observe à son étonnement «les restes d'un antique vaisseau pris dans la glace». Des journalistes s'emparent de l'information et veulent en tirer un document à sensation; mais un article du New-York Times signé par un savant réputé fait «crever ce ballon d'essai» «L'arche de Noé est un mythe et doit le rester». Il faut dire que c'est l'époque du triomphe aveugle de la raison sur la foi ...

1887 : L'archidiacre Nourri, de l'Église orthodoxe, entreprend l'ascension de la montagne. À son tour il découvre les vestiges de l'arche «formée de poutres d'un rouge sombre d'un bois très épais». Quelques années plus tard, on l'invite à rendre compte de sa trouvaille au congrès du Parlement Mondial des Églises. Son rapport suscite suffisamment d'enthousiasme pour que l'on fonde, aux États-Unis, une société chargée de financer une expédition au Caucase, dont l'objectif est particulièrement audacieux : redescendre l'arche de Noé de la montagne et la transporter outre-Atlantique pour qu'elle devienne l'attraction principale de la Foire Internationale de Chicago en 1896 ! Mais l'argent manque; de plus, pour la petite histoire, le gouvernement turc refuse «l'autorisation d'exporter l'arche, au cas où on la trouverait», si bien qu'elle tombe à nouveau dans l'oubli. Quant à l'archevêque Nourri, il est frappé d'artériosclérose et doit être soigné en clinique; il n'en faut pas d'avantage pour que des gens mal intentionnés taxent de folie ceux qui veulent ressusciter la «légende de Noé».
http://news.nationalgeographic.com/news/bigphotos/images/060705-noahs-ark_big.jpg
Août 1916 : Un aviateur russe, Vladimir Roskovitsky (Zabaolotsky, selon d'autres rapports) est chargé d'une mission de reconnaissance à la frontière turque; il observe alors un lac gelé sur le versant oriental du Grand-Ararat. Il s'en approche quelque peu et croit reconnaître la carcasse d'un gigantesque navire. Son information suscite la curiosité de ses supérieurs; le capitaine Koorbatoff survole à son tour la région et confirme les faits. Il fait rapport au tsar, l'empereur Nicolas11, qui ordonne immédiatement une expédition terrestre. Une compagnie de soldats est affectée à cette recherche et une mission scientifique se joint à l'expédition qui parvient à l'emplacement signalé, prend des photographies et ramène un précieux butin. Mais la révolution de 1917 éclate et ces inestimables documents sont égarés et détruits dans la tourmente qui balaie la Russie.



24/04/2010
0 Poster un commentaire

A découvrir aussi


Inscrivez-vous au blog

Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour

Rejoignez les 36 autres membres