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Mexique . Florence Cassez . Proverbe Biblique

Affaire Cassez. L'année du Mexique: l'enjeu diplomatique

Ne  Regarde  pas  la  poussière  qui  se  trouve  dans  l'  Oeil  de  ton  voisin  , alors  que  dans  ton  oeil  il  y a une  poutre  .  Evangile  selon  ......

 Si  la  Justice  Française  s' était  retrouvé  dans  la  même  situation  ,  elle  aurait  agi  de  la  même  manière  que   la  Justice  Mexicaine  et  la  demande  du  pays  etranger  reclamant  la  liberation  de  l' accusé  aurait  reçu  une  reponse  de  non  revevoir  de  la  part  de  la  France  .

Donc  de  grace  médias  de  France  ,  ne  nous   presentez  pas  le  Mexique  comme  un  pays  non  respectueux  des  droits  de  l'  homme  parcequ' il  refuse  de  faire  liberer  Florence  Cassez  .

 

Florence  Cassez  a été condamnée à 60 ans de prison au Mexique pour enlèvements. Des enlèvements qu’elle a toujours réfutés, rappelle Le Figaro.

A la suite du rejet de son pourvoi en cassation, Charlotte Cassez, sa mère, avait réclamé la suspension des célébrations prévues cette année, en France, dans le cadre de l’année du Mexique.

"Il est impensable de fêter le Mexique tant qu'elle sera là-bas", avait indiqué la mère de Florence Cassez tout en suggérant "le boycott de destinations touristiques au Mexique".

De son côté, Martine Aubry, première secrétaire du PS a appelé les collectivités licales socialistes à boycotter cette année du Mexique.

 

Les  médias  de  France  s'  indigne  de  se  jugement  au  Mexique  .  Et  ils  s'  empressent  de  nous  parler  de  se non  respect  des  droits  de  l' homme   . Certes  , probablement  que  la  sentance  infliger  à  Florence  Cssez  parait  dispropotionner  mais  ses  mêmes  médias  ont - ils  visiter  les  prisons  françaises  ou  nombres  d' etranger  et  de  français  d' origine  etrangère  croupissent  dans  des  conditions  des  plus  déplorables  . Et  je  ne  parle  pas  des  centres  de  rétentions  ou  l'  on  retient  les  etrangers  sans papiers  .

Les   liens  qui  suivent  sont  assez  explicite  de  la  situation  française  .

 

Le “Washington Post” souligne la surreprésentation des musulmans ...

GISTI - Étrangers incarcérés, étrangers délinquants ?

 

Inutile de se voiler la face : la part des étrangers dans la population carcérale a connu, dans plusieurs pays d'Europe de l'Ouest, une croissance importante au cours de ces dernières décennies. En France, cette part est passée de 18 % en 1975 à 26 % en 1995, et concerne environ 14 000 prisonniers, sur un peu plus de 53 000. Bien évidemment, c'est l'écart existant entre cette proportion de la population incarcérée et la part des étrangers vivant en France (6 %) qui appelle des commentaires. A ceux qui voudraient attribuer aux étrangers des tendances intrinsèquement délinquantes, Loïc Wacquant oppose une analyse plus distanciée. Il relève d'abord qu'une augmentation générale de la population carcérale s'est produite en Europe en même temps que l'arrivée du chômage de masse et de la fragilisation de l'emploi. Les étrangers (et les immigrés) qui font partie des catégories les plus vulnérables de travailleurs sont donc visés au premier chef par ce processus de dégradation de leur condition économique et sociale. Ensuite, il note que - à délit égal - l'emprisonnement est deux fois plus souvent imposé aux étrangers qu'aux nationaux, qui bénéficient facilement de sursis ou de dispenses de peine. Enfin, il souligne que, du fait même de leur condition, les étrangers sont exposés à des infractions spécifiques, comme celle de séjour irrégulier, pour lesquelles ils sont fréquemment appréhendés et détenus : selon L. Wacquant, les seules infractions à la police des étrangers (qui ont triplé en vingt ans) suffisent à expliquer l'augmentation du nombre d'étrangers dans les prisons françaises dans ce même temps. Sa croissance serait le signe, en somme, d'une efficacité répressive accrue. Reste à expliquer la surreprésentation chronique des étrangers dans les prisons : pour cela, les arguments sociologiques cités plus haut suffisent, mais ne satisferont évidemment pas ceux pour qui la déviance est une conduite, et non un simple destin.





13/02/2011
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