Remote Viewing . Epave d' ovni sur la lune
Ci - dessous une epave d' ovni filmé par Appolon 20
http://www.youtube.com/v/Kcf6u573zzs&rel=0&hl=en_US&feature=player_embedded&version=3"
A la lecture de ce sujet, nous apprenons que des entitées non humaine, sont positionnées sur la face cachée de notre Lune, et que ces ETs y ont des bases, par conséquent nous comprenons pourquoi, aucune mission Apollo ne s’est posée sur la face cachée de la Lune !
Ses informations nous sont parvenus grace à l' emploi d' une nouvelle discipline ( Le Remote Viewing = R V ) . C' est une technique de Vision à distance avec quelquefois des voyages astral ( sortie de l' âme hors du corps physique ) . Elle permet à ses utilisateurs de visiter les régions les plus inhospitalières de la planète . Certaines decouvertes archéologiques seraient entre autre leurs oeuvres .
Le Remote Viewing aurait permis de localiser certaines bases Extraterrestres sur la face caché de la Lune . Celle - ci ne possédant pas d' atmosphère ne permet pas de desintégrer les blogs de méteorite qui s' y ecraseraient . Conscient de cela nos visiteurs extraterrestres déciderent de faire construire leurs bases dans le sous sol lunaire .
Seul certaines antennes de communications emergeraient du sol mais seraient protéger par un champs de force .
Les météorites qui tombe sur la lune ont tendance à rebondir sur les champs de force qui enveloppe les bases et les antennes . Par exemple au niveau de certains crateres d' ou emergeraient certaines bases , il n' y a pas d' impact de météorite .
Le sous sol d' une partie de la Lune serait entre - autre parcouru par tout un reseau de tunnels qui connecteraient les differentes bases disséminés sous le sol lunaire .
Le Remote Viewing .
Pendant plus de trente ans, Stephan Schwartz et ses équipes ont utilisé le RV pour localiser des sites archéologiques sur terre comme sous la mer. Épaves, monuments ensevelis, palais, sites disparus depuis des siècles, et même l’une des sept merveilles du monde (le phare d’Alexandrie) ont été retrouvés de cette manière, là où d’autres techniques avaient échoué.
Stephan Schwartz est l’homme qui a largement développé le remote viewing (RV) pour des applications civiles, parallèlement aux militaires qui l’ont longtemps utilisé de leur côté pour le renseignement.
Russel Targ est né en 1934, et a codirigé avec Harold Puthoff le programme de remote viewing du Stanford research Institute pendant 23 ans !
Russel Targ …
Physicien et auteur, Russell Targ est un des pionniers du développement du laser et de ses applications. Il a co-fondé la recherche sur les facultés psychiques pour la CIA au Stanford Research Institute dans les années 70 et 80.
Son travail dans ce nouveau domaine, auparavant classifié et aujourd’hui largement connu sous le nom de Remote Viewing, a été publié dans des revues scientifiques prestigieuses (1) .
Russell Targ est diplômé en physique du Queens College et de la Columbia University.
Pour convaincre les sceptiques des applications diverses, et de leur réussite dans ce domaine, voici une autre ‘’ preuve ‘’.
Russell Targ et Haold Puthoff décide de tester le RV sur le marché de l’argent métal. Pendant neuf semaines consécutive ils réussissent à anticiper l’évolution du marché, leur prédiction sont justes et l’équipe réalise des gains de 125 000 dollars ! Ils auront même droit à la premiere page du Wall Street journal, et un documentaire de la BBC !
Il fut approché en 1975 par une officine gouvernementale occulte, qui lui demande de visualiser des coordonnées… sur la Lune !
Qu’y voit il ?
Il y voit des batiments, des installations, et des dispositifs de forage…forcément extraterrestres, le tout sur la face cachée de la Lune.
Remote viewing militaire… L’histoire du RV militaire remonte à la fin des années 60 alors qu’étaient menées des expériences sur les « sorties hors du corps » à New York au sein de l’American Society for Psychical Research. L’un des sujets était Ingo Swann, jeune artiste venu du Colorado. Fatigué des protocoles de recherche, Swann suggéra plusieurs modifications qui permirent d’améliorer les résultats obtenus. Ces travaux retinrent l’attention d’un physicien qui travaillait alors dans un laboratoire hébergé par l’université de Stanford, en Californie, Harold Puthoff. Swann et Puthoff furent alors amenés à collaborer pour réaliser une expérience qui à son tour attira l’attention… de la CIA.
Espions psychiques… En 1972 donc, des agents de la CIA se rendent dans le laboratoire de Targ et Puthoff, en présence d’Ingo Swann. Ils lui présentent des boîtes closes et lui demandent d’en identifier le contenu, ce qu’il fait deux fois de suite. À la troisième boîte, Swann décrit quelque chose qui ressemble à une feuille d’arbre de couleur marron, mais il lui semble que cela bouge, que c’est vivant. En effet, la boîte contient un grand papillon de nuit brun ! Les agents sont impressionnés et décident de financer un premier programme de recherche pour une durée de huit mois. De la CIA, les recherches passèrent à la DIA (Defense Intelligence Agency). En 1978, l’armée créa sa propre unité et forma ses agents au RV. L’un d’eux, Joseph McMoneagle, allait devenir le plus célèbre « espion psychique » de cette période. C’est dans ce cadre que les protocoles changèrent de nature. Par exemple, on indiquait au « viewer » des coordonnées géographiques, longitude et latitude, et celui-ci devait indiquer ce qui s’y trouvait. Lors d’un tel exercice, McMoneagle décrit avec moult précisions un site de lancement de missiles russes ! Celui-ci était si performant qu’il participa également à des recherches dans un cadre civil, notamment au Cognitive Science laboratory, qui étaient destinées à comprendre le phénomène. Lors d’une session, il devait décrire ce que voyait une personne qui s’était rendue dans un lieu se trouvant dans un rayon de plus de 150 km autour du laboratoire. Mais l’expérience était menée en aveugle, de sorte que l’on ne découvrait que plusieurs heures après l’endroit où s’était rendu l’émissaire. McMoneagle fit un dessin représentant des collines sur lesquelles étaient plantés des poteaux, dont il figurait le sommet entouré d’un cercle, précisant qu’il s’agissait de fournir de l’électricité. À l’arrivée, la photo prise par l’émissaire montrait un champ d’éoliennes…
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