Robert Menard au service de la CIA
L'Islam en France : Menard sans interdit : Robert Menard, Robert « m ...
Certaines de ses prises de positions concernant l' immigration , ne font que faire ressurgir certaines de ses arrières pensées plus ou moins xenophobes . Il a su les cachés jusqu' à ses dernieres années . Mais comme vous le verrez sur les liens suivant , Robert Menard pourrait très bien un jour devenir le porte parole de l' extrème droite en France .
Quand à sa defense des droits de l' homme , les multiples pays qu' il cible represente en fait la liste noir des Etats - Unis . Et pour cause c' est une association americaine qui financerait Reporters sans frontière .
http://www.youtube.com/v/n1NaEiTgMt4&rel=0&hl=en_US&feature=player_embedded&version=3"
http://www.youtube.com/watch?v=PJlKWsOyhVk
http://www.dailymotion.com/swf/video/xcsfre_robert-menard-defend-eric-zemmour_news?additionalInfos=0
Au fil des années, R. Menard a su imposer son association. Dans l’hexagone, mais aussi dans le monde, où elle jouit d’un certain respect. L’ONG se porte bien. L’argent ne manque pas, assuré par la vente de livres de photos mais aussi les dons d’entreprises et semble-t-il d’officines étatiques.
Le silence troublant de l’ONG sur les dérives du gouvernement des Etats-Unis (Irak, Guantanamo), ou ses actions orientées sur les derniers bastions communistes (Cuba, la Chine) ou l’Amérique latine interpelle. Certaines sources, altermondialistes principalement, évoquent de manière récurrente sur la toile que RSF bénéficierait d’un soutien financier du NED (National Endowment for Democracy).
Une association américaine dont l’objectif officiel est l’éducation et la formation vers la démocratie à travers le monde. En fait un organisme créé par Ronald Reagan alimenté par des crédits d’Etat destiné à aider les structures (partis politiques, syndicats, ONG) “amies” des USA qui part du principe que « Ce qui est bon pour l’Amérique, est bon pour le monde ».
Ménard a décidément sa propre définition de la liberté de la presse:
RSF a établi une liste de quinze pays « ennemis d'Internet »:
l'Arabie saoudite, le Belarus, la Birmanie, la Chine, la Corée du Nord, Cuba, l'Egypte, l'Ethiopie, l'Iran, l'Ouzbékistan, la Syrie, la Tunisie, le Turkménistan, le Viêt-nam et le Zimbabwe, dont la principale caractéristique est d'être des nations du Tiers-monde.
Pas un seul pays occidental ne figure sur cette liste. Mais rien n'est bien surprenant puisque Robert Ménard, secrétaire général de l'organisation parisienne depuis 1985, a affirmé que seuls les pays sous-développés l'intéressaient : « Nous avons décidé de dénoncer les atteintes à la liberté de la presse en Bosnie et au Gabon et les ambiguïtés des médias algériens ou tunisiens mais de ne pas nous occuper des dérives françaises ». Pour quelle raisons ? « Parce que, ce faisant, nous risquons de mécontenter certains journalistes, de nous mettre à dos les grands patrons de presse et de braquer le pouvoir économique. Or, pour nous médiatiser, nous avons besoin de la complicité des journalistes, du soutien de patrons de presse et de l'argent du pouvoir économique », explique Ménard.
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