Paranovni - Sciences Parallèles

 http://www.youtube.com/watch?v=DO4a_t_YGvM

http://www.youtube.com/watch?v=ZjvAbr4Znys

Comme  vous  le  voyez  sur  la  vidéo  ci - dessus  , la  télévision  algerienne  presentait  a  sa  population  des  images  montrant   le  resultat  de  l' insurection  . 

La  television  algerienne  etant  museler  par  le  pouvoir  unique  ( FLN -  Armée )  ,  c'  est  tous  de  même  etrange  de  constater  que  du  jour  au  lendemain  ,  elle reçoit  l'  autorisation  de  couvrir  les  evènements   d' octobre  1988    .

Tous  cela  faisait  parti  d'  un  plan  plannifier  de  longues  dates  par  une  partie  des  generaux  Algeriens  .

  les événements du 5 octobre 1988 Révolution ou manipulation ...

les émeutes d'octobre étaient si bien organisées que l'on a compris assez vite que l'objectif des commanditaires était, sinon de mettre fin au bicéphalisme qui caractérisait la gestion politique du pays, du moins affaiblir le parti unique et ses nombreuses organisations satellites (organisations de masse et unions professionnelles) qui exerçaient alors un règne sans partage sur la vie publique et l'économie du pays.

L'analyse des événements qui ont précédé ces journées de troubles conforte la thèse de la manipulation des foules ainsi que la volonté du courant libéral, représenté par le président Chadli Bendjedid et les forces qui l'ont placé à la tête de l'Etat, après le décès de Houari Boumediene,

Et  les  3  immolations  décrite  ci - dessous  ,  nous  explique  le  fin  mot  de  la  manipulation  qui  déclenchera  les  emeutes  d' octobre  1988  . Une  partie  des  generaux  Algeriens  souhaitaient  quitter  le  modèle  socialiste  qui  animait  le  pays  depuis  l' ère  " Boumedienne " . 

Et  pour  arriver  à  leurs  fins  ,  ils  iront  jusqu' à  bloquer  certains  entrepots  pour  y  laisser  pourrir  les  denrées  alimentaires  ce  qui  nécessairement   augmentera  les  prix  tout  en  affamant  la  population  . La  suite  on  la  connait  ,  des  emeutes  bien  préparés  suivi  d'  une  repression  feroce   .

Les événements du 5 octobre sont intervenus dans une période où l'Algérie était sujette à de fréquentes pénuries de produits alimentaires. Celles-ci étaient provoquées à dessein, confirment de nombreuses sources, et ce, pour alimenter la colère des citoyens envers le système.

Après  cela  le  president  Algerien  , s' empressera  d' annoncer  a la  telévision  qu  il  va  ouvrir  le  pays  aux  nouvelles  reformes  dont  celle  du  liberalisme  economiques  .

Mais se   plans  mackiavelique  orchestré  par  le  president  Algerien  et  les  generaux  qui  l'  ont placé au  pouvoir  leur  echappera  lors  des  elections  organisés  en  1991  .  Car  ses derniers  avaient  complètement  occulté  la  carte  islamiste  .  Ils  esperaient  voir  gagner  un  parti  laic  qui  leur  garantirait   les  reformes  d' un  liberalisme  economique  .

Trois personnes, âgés entre 35 et 43 ans, ont tenté de s’immoler par le feu aujourd’hui 20 février, vers 12:30h, devant la direction de Socothyd, une entreprise publique de fabrication de coton, sise  au chef-lieu de la commune des Issers, (30 km à l’est de Boumerdès). 

Ils se sont aspergés d’essence avant d’y mettre le feu devant le regard des passants et des éléments services de sécurité. Choqués par la scène, ces derniers sont aussitôt intervenus et ont atteint les flammes qui ont failli dévorer les corps des victimes. 

Les malheureux, tous des pères de famille, ont été transportés à l’hôpital de Bordj-Menaiel. Une source médicale nous apprend que leurs jours ne sont pas en danger. Ils ont recouru à cet acte de désespoir pour dénoncer la hogra et l’injustice dont ils ont été victimes à la suite de leur exclusion de leurs postes d’emploi en octobre 2006. 

Ces pères de famille ont enclenché, avec plus d’une vingtaine de leurs collègues, une action de protestations devant le siège de Socothyd, depuis une semaine pour réclamer leur réintégration. 

Mais en vain. Certains d’entre eux ont été accusés d’avoir été les instigateurs du mouvement de grève enclenché en 2006 pour s’opposer à la privatisation de leur entreprise. D’autres affirment avoir bénéficié d’une décision de réintégration de la part du tribunal de Bordj-Menaiel en décembre 2006. 

Le PDG, de l’entreprise en question nous a indiqué, il y a quelques jours, que huit parmi les protestataires sont exclus définitivement alors que d’autres avaient reçu des indemnisations conformément à l’article 73 de la loi 90/11. Le même responsable s’est dit toutefois prêt a entamer les négociations avec les concernés, dans le cadre de la réglementation en vigueur, en vue de satisfaire leurs revendications