Paranovni - Sciences Parallèles

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Deux voyages dans le temps intrigants .

En juin 1925, Jean Romier, un étudiant en médecine de 24 ans, rencontre dans les jardins du Luxembourg M. Berruyer, un sympathique vieillard qui, à la suite d'une conversation sur Mozart, lui propose de venir assister à l'un des concerts qu'il donne chaque vendredi dans son appartement, rue de Vaugirard, en compagnie de sa famille qui partage sa passion pour la musique classique.

Le vendredi suivant, le jeune Romier se présente chez les Berruyer, rue de Vaugirard, et passe une agréable soirée à écouter du Mozart, à discuter avec un jeune séminariste, ainsi qu'avec les deux petits-fils de M. Berruyer, un étudiant en droit et un aspirant de l'Ecole Navale. A minuit, il prend congé, mais à peine sortie dans la rue, il s'aperçoit qu'il a oublié son briquet. Jean Romier remonte et sonne. Personne ne répond. Trés intrigué, il sonne longuement et finit par réveiller le voisin, qui appelle le concierge en criant au voleur. Un commissaire de police du poste le plus proche arrête l'étudiant.

Une enquête est menée. Le voisin et le concierge affirment que l'appartement est vide depuis des années, à la suite de la mort de M. Berruyer. Jean Romier, issu d'une honorable famille, parvient à convaincre le commissaire de sa bonne foi.

Le lendemain matin, on fait venir l'arrière-petit fils de M. Berruyer, propriétaire de l'appartement. En ouvrant la porte, on découvre un appartement à l'abandon, rempli de toile d'araignées. Jean Romier étonne tous les témoins par sa parfaite connaissance de la disposition des pièces, ainsi que ses précisions sur les membres de la famille Berruyer. Ainsi, le jeune étudiant en droit vu la veille était le grand-père avocat de l'actuel propriétaire, l'élève de l'Ecole Navale son grand-oncle devenu amiral, et le séminariste son grand-oncle devenu missionnaire en Afrique. Quand aux concerts, le jeune Berruyer affirme qu'ils ont bien eu lieu autrefois dans cet appartement. Enfin, sur une table, on découvre le briquet de Jean Romier qu'il avait laissé la veille au soir.

Le professeur Dutheil explique que ce jeune homme fut victime d'une hallucination étonnante. Toute une famille de fantôme lui est apparue. L'enquête de police à prouvé qu'il ne pouvait s'agir en aucun cas d'une supercherie montée par le jeune Romier. Les détails stupéfiants de précision qu'il fournit à M. Berruyer sur les membres de sa famille et la découverte du briquet constituent d'ailleurs des indices troublants.
L'aventure est si étonnante qu'on la raconte à A. Einstein lui-même, qui la prend très au sérieux et déclare que "ce jeune homme a trébuché dans le temps... comme d'autre ratent une marche d'escalier".

Dans le même ordre de phénomènes, écoutez l'histoire du petit trianon.

En 1900, 2 jeunes touristes anglaises se promènent dans le parc de Versailles. Soudain, durant plusieurs minutes, elles se trouvent projetées en plein XVIIIème siècle, croisant ainsi des personnages de cette époque, dont en particulier un gentilhomme de la cour qui leur interdit de poursuivre leur promenade. La remarque d'Einstein semble se retrouver dans le cas de cette histoire.

D'après plusieurs scientifiques dont Einstein, les fantômes apparaitraient par des sortes de brèches du temps, où ils formeraient de brèves visions d'un autre univers, d'une autre dimension. On a également avancé qu'ils pourraient être des entités virtuelles, immatérielles mais bien réelles, dont la nature resterait, à l'heure actuelle, un mystère.

Extrait "le grand livre des fantômes"


06/01/2010
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