Guerre d' Algérie . La dette Karmique de la france
Des camps de concentrations en Algérie pendant la periode française .
Voilà trois liens qui presentent sous forme de témoignages , certaines des atrocités commises par l' armée française pendant la guerre d' Algérie .
En agissant ainsi les militaires français ont contractés une dette Karmique dont il faudra s' épurer . Censuré les évènements tragiques d' Algérie tout en médiatisant ceux de la deuxième guerre mondiale ne résoudra pas les choses . Car comme je le disais dans un précédent sujet , pendant son expansionnisme territoriale , l' europe avait su caché les atrocités qu' elle avait commises pendant sa politique coloniale .
Cela n' a pas empêcher le Nazisme de prendre le pouvoir en écrasant l' europe sous les bombes et les crimes . C' était le remboursement de la dette Karmique contracté pendant la periode colonialiste de l' Europe .
Et de son côté , l ' Algérie devait accueillir des âmes endéttés Karmiquement parlant . L' occupation française et sa politique coloniale tragique allait servir de terrain d' expiation pour des millions d' algériens qui n' en connaissaient pas la nature . Car la religion islamique ne fait pas mention du dogme de la réincarnation .
La torture pendant la guerre d'Algérie a été pratiquée sur les populations algérienne et française par les forces coloniales (l'armée française, ses supplétifs harkis, l'OAS, les barbouzes, les forces de police et des colons eux-mêmes) dans des proportions qui, selon l'historien Pierre Vidal-Naquet, concerneraient des centaines de milliers d'Algériens. Estimation confirmée depuis par la thèse de doctorat de l'historienne Raphaëlle Branche.
Les précédents coloniaux de l'usage de la torture
Depuis la conquête coloniale la torture est un procédé courant des forces de l'ordre en Algérie qui l'utilisent pour terroriser les populations autochtones. Cette pratique qui a été utilisée tout au long de la présence coloniale en Algérie, d'abord pour obtenir des informations sur les emplacements de silos à grains lors de la conquête coloniale, puis pour briser les grèves, meurtrir des suspects, instruire les affaires pénales les plus ordinaires et terroriser les indigènes s'inscrivait avant tout dans une démarche de haine et de déshumanisation.
La mise en place de la torture comme arme systématique
Dès 1949, le gouverneur général Naegelen rédige une circulaire interdisant l'usage de la torture et des sévices par les services de police, mais ne parvient pas à se faire obéir. Jusqu'en 1955, l'armée est indemne de ces accusations. Utilisée en Indochine, la torture devient progressivement une arme de guerre à part entière, théorisée et légitimée dans le cadre d'une doctrine de la « guerre contre-révolutionnaire », en particulier par le colonel Trinquier, le capitaine Paul-Alain Léger, le colonel Marcel Bigeard et le général Jacques Massu en tant que moyen de poursuivre une guerre non conventionnelle, où l'adversaire se dérobe aux catégories classiques du droit de la guerre (combattant, civil), se dissimulant dans la population. Celui-ci est assimilé à un « terroriste », « cas » encore plus « grave » que celui du « franc-tireur » ou du « guérillero ».
L'usage du renseignement et de la « guerre psychologique » sera promu au rang d'une arme de guerre comme les autres. Ainsi, la création des 5es bureaux, en août 1957, entérine « l'inclusion de l'arme psychologique dans la structure organique des armées ».
De fait, avec la ténacité du colonel Lacheroy, « l'arme psychologique tend à se muer en un outil politique entièrement dédié à la cause de l'Algérie française, entraînant de fait la politisation d'une partie des cadres militaires ». La plupart des officiers travaillant dans l'action psychologique participeront au putsch des généraux, ou le soutiendront fortement, avant de rejoindre l'OAS, dont ils inspireront les méthodes. L'autonomie accordée par le pouvoir politique aux militaires se retourne ainsi, de fait, contre l'Etat lui-même.
L'officialisation de la « guerre contre-révolutionnaire »
Le 1er juillet 1955 - soit un mois et demi avant l'insurrection du Constantinois du 20 août, considérée par de nombreux historiens comme le vrai début de la guerre d'Algérie - le Ministre de l'Intérieur Maurice Bourgès-Maunoury, fervent adepte de la théorie de la « guerre contre-révolutionnaire » du colonel Lacheroy et le Ministre de la Défense, le général Koenig, contresignent l'« instruction n° 11 », qui a recueilli « la pleine adhésion du gouvernement » et qui est diffusée dans tous les régiments français d'Algérie. Celle-ci stipule que « la lutte doit être plus policière que militaire (…) Le feu doit être ouvert sur tout suspect qui tente de s'enfuir (…) Les moyens les plus brutaux doivent être employés sans délai (…) Il faut rechercher le succès par tous les moyens. »
Aveux du général Massu
La torture en Algérie fut évoquée, entre autres, par le chef militaire d'Alger, le général Jacques Massu dans son ouvrage La vraie bataille d'Alger publié en 1972. En 2000, lors d'un entretien donné au quotidien Le Monde du 21 juin 2000, il déclara que « le principe de la torture était accepté ; cette action, assurément répréhensible, était couverte, voire ordonnée, par les autorités civiles, qui étaient parfaitement au courant ». Il ajoute : « J'ai dit et reconnu que la torture avait été généralisée en Algérie (...) On aurait dû faire autrement, c'est surtout à cela que je pense. Mais quoi, comment? Je ne sais pas. Il aurait fallu chercher; tenter de trouver. On n'a malheureusement pas réussi, ni Salan, ni Allard, ni moi, ni personne. ». Cette déclaration fait écho à l'accusation de Lila Ighilahriz, militante algérienne torturée en 1957 à Alger, devenue psychologue.
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