Paranovni - Sciences Parallèles

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la puce électronique . Controlé l' esprit par l' ordinateur et les satellites

Masuda, le "père de la société de l'information," a affirmé son souci en 1980 que notre liberté est menacée de façon orwellienne par la technologie de la cybernétique totalement inconnue de la plupart des gens. Cette technologie relie les cerveaux des gens, par l'intermédiaire de micro-puces implantées, aux satellites contrôlés par des ordinateurs géants basés au sol. Les premiers implants cérébraux furent chirurgicalement insérés en 1974 dans l'état de l'Ohio, aux Etats-Unis, et également à Stockholm, en Suède. Des électrodes cérébrales furent insérées dans le crâne de bébés en 1946 à l'insu de leurs parents. Dans les années 50 et les années 60, des implants électriques furent insérés dans les cerveaux d'animaux et d'humains, particulièrement aux Etats-Unis, pendant la recherche sur la modification du comportement, et sur le fonctionnement du cerveau et du corps. Des méthodes de contrôle de l'esprit (mind control ou MC) furent employées dans des tentatives en vue de changer le comportement et les attitudes humains. Influencer les fonctions cérébrales devint un but important de l'armée et des services de l'intelligence. Il y a trente ans, les implants se sont révélés dans les radiographies, ayant la taille d'un centimètre. Les implants suivants rétrécirent jusqu'à la taille d'un grain de riz. Ils étaient faits de silicium, plus tard encore d'arséniure de gallium. Aujourd'hui, ils sont assez petits pour être insérés dans le cou ou dans le dos, et également en intraveineuse dans différentes parties du corps pendant des opérations chirurgicales, avec ou sans le consentement du sujet. Il est maintenant presque impossible de les détecter ou de les enlever. Il est techniquement possible que l'on injecte à chaque nouveau-né une puce, qui pourrait alors fonctionner pour identifier la personne pour le reste de sa vie. De tels plans sont discutés en secret aux États-Unis sans aucune diffusion publique concernant les problèmes liés à la vie privée qui sont impliqués. En Suède, le premier ministre Olof Palme donna la permission en 1973 d'implanter les prisonniers, et l'ex-Directeur Général Jan Freese révéla que des patients dans les maisons de retraite avaient été implantés vers le milieu des années 80. La technologie est révélée dans le rapport suédois d'état 1972:47, STATENS OFFICIELLA UTRADNINGER (SOU). Des êtres humains implantés peuvent être suivis n'importe où. Leurs fonctions cérébrales peuvent alors être surveillées à distance par des super ordinateurs et même être altérées par le changement des fréquences. Les cobayes utilisés dans des expériences secrètes ont inclus des prisonniers, des soldats, des patients atteints de maladies mentales, des enfants handicapés, des personnes sourdes et aveugles, des homosexuels, des femmes célibataires, des personnes âgées, des écoliers et n'importe quel groupe de personnes considérées comme "marginales" par les expérimentateurs de l'élite. Les expériences publiées sur des prisonniers la prison d'état de l'Utah, par exemple, sont choquantes pour la conscience. Les micro-puces d'aujourd'hui fonctionnent au moyen d'ondes radio de basse fréquence qui les visent. À l'aide des satellites, la personne implantée peut être pistée n'importe où sur le globe. Une telle technique figurait parmi un certain nombre de techniques testées pendant la guerre d'Irak, selon le Dr. Carl Sanders, qui a inventé l'interface l'interace biotique d'intelligence-équipée (IMI), qui est injectée dans des personnes. (Auparavant, pendant la guerre du Vietnam, des soldats furent injectés avec la "puce Rambo", conçue pour augmenter l'écoulement d'adrénaline dans la circulation sanguine.) Les super ordinateurs de la National Security Agency des Etats-Unis (Agence de sécurité nationale ou NSA) et qui sont capables de calculer 20 milliards de par seconde pourraient à présent "voir et entendre" ce que soldats éprouvent sur le champ de bataille avec un système de télésurveillance (remote monitoring system ou RMS). Lorsqu'une puce de 5 micromillimètres de diamètre (le diamètre d'un brin de cheveux est de 50 micromillimètres) est placée dans le nerf optique de l'oeil, elle capte les impulsions neurales du cerveau qui incarnent les expériences, les odeurs, la vue et la voix de la personne implantée. Une fois transférées et entreposées dans un ordinateur, on peut renvoyer ces neuroimpulsions au cerveau de la personne par l'intermédiaire de la puce afin que ces expériences soient expérimentées à nouveau. En utilisant un système de télésurveillance (RMS), un opérateur d'ordinateur basé au sol peut envoyer des messages électromagnétiques (encodés comme des signaux) au système nerveux, affectant la performance de la cible. Avec le RMS, des personnes en bonne santé peuvent être incitées à voir des hallucinations et à entendre des voix dans leur tête. Chaque pensée, réaction, audition et observation visuelle cause un certain potentiel neurologique, des pics et des modèles dans le cerveau et ses champs électromagnétiques, qui peuvent à présent être décodés en pensées, images et voix. La stimulation électromagnétique peut donc changer les ondes cérébrales d'une personne et affecter l'activité musculaire, provoquant des crampes musculaires douloureuses vécues comme une torture. Le système électronique de surveillance de la NSA peut simultanément suivre et manipuler des millions de personnes. Chacun de nous possède une fréquence de résonance bioélectrique unique dans le cerveau, tout comme nous possédons des empreintes digitales uniques. La fréquence électromagnétique (EMF) du cerveau étant entièrement codée, des signaux électromagnétiques pulsants peuvent être envoyés au cerveau, provoquant la voix les effets visuels que l'on désire que la cible éprouve. C'est une forme de guerre électronique. Des astronautes américains furent implantés avant qu'ils aient été envoyés dans l'espace, de façon à ce que leurs pensées puissent être suivies et que toutes leurs émotions puissent être enregistrées 24 heures sur 24. Le Washington Post a rapporté en mai 1995 que le prince William de Grande-Bretagne avait été implanté à l'âge de 12 ans. Ainsi, s'il était jamais enlevé, une onde radio avec une fréquence spécifique pourrait être envoyée jusqu'à sa micro-puce. Le signal de la puce serait suivi via satellite sur l'écran d'ordinateur du quartier général de la police, où les mouvements du prince pourraient être suivis. Il pourrait en fait être situé n'importe où sur le globe. Les mass médias n'ont pas signalé que la vie privée d'une personne implantée disparaît pour le reste de sa vie. Il ou elle peut être manoeuvré(e) de nombreuses manières difféentes. En utilisant différentes fréquences, le contrôleur secret de cet équipement peut même changer la vie émotive d'une personne. Il ou elle peut être rendu(e) agressif/-ve ou léthargique. Sa sexualité peut être artificiellement influencée. Des signaux de pensée et la pensée subconsciente peuvent être lus, des rêves peuvent être affectés et même induits, tous cela à l'insu et sans le consentement de la personne implantée. Un cyber-soldat parfait peut donc être créé. Cette technologie secrète a été employée par les forces militaires dans certains pays de l'OTAN depuis les années 80 sans que les populations civiles et académiques aient entendu quoi que ce soit à son sujet. Donc, peu d'informations sur de tels systèmes invasifs de contrôle de l'esprit sont disponibles dans les journaux professionnels et académiques. Le signaux de l'intelligence de la NSA peuvent surveiller à distance l'information des cerveaux humains en décodant les potentiels évoqués (3.50hz, 5 milliwatts) émis par le cerveau. Des prisonniers sujets d'expérience à Gothenburg, en Suède et à Vienne, en Autriche, se sont avérés avoir [un mot manque ici] des lésions cérébrales. Une circulation sanguine diminuée et un manque d'oxygène dans les lobes frontal et temporal droits sont les conséquences des endroits où les implants cérébraux sont habituellement utilisés. Un sujet d'expérience finlandais a subi une atrophie cérébrale et des attaques intermittentes de perte de conscience dues au manque d'oxygène. Les techniques de contrôle de l'esprit peuvent être employées dans des buts politiques. Le but des contrôleurs de l'esprit est aujourd'hui d'inciter les personnes ou les groupes de personnes visés à agir contre leurs propres convictions et meilleurs intérêts. Des individus zombifiés peuvent même être programmés pour assassiner et ne rien se rappeler de leur crime par la suite. Des exemples alarmants de ce phénomène peuvent être trouvés aux États-Unis. Cette "guerre silencieuse" est conduite contre des civils ignorants et des soldats par l'armée et par les agences de l'intelligence. Depuis 1980, la stimulation électronique du cerveau (ESB) a été secrètement utilisée pour contrôler les personnes visées à leur insu et sans leur consentement. Tous les accords internationaux des droits de l'homme interdisent la manipulation non consentie des êtres humains -- même dans les prisons, et ce sans même parler des populations civiles. Sous une initiative du sénateur américain John Glenn, des discussions ont débuté en janvier 1997 concernant les dangers d'irradier les populations civiles. Viser les fonctions cérébrales des gens avec des champs et des faisceaux électromagnétiques (à partir d'hélicoptères et d'avions, de satellites, à partir de camionnettes blanches garées, de maisons voisines, de poteaux téléphoniques, d'appareils électriques, de GSM, de la TV, de la radio, etc.), fait partie du problème de rayonnement qui devrait être abordé dans les corps de gouvernements démocratiquement élus. En plus du contrôle de l'esprit électronique, des méthodes chimiques ont été également développées. Des drogues altérant l'esprit et différents gaz odorants affectant négativement la fonction cérébrale peuvent être injectés dans des conduits d'air ou des conduites d'eau. En outre, des bactéries et des virus ont été testés de cette manière dans plusieurs pays. La super technologie d'aujourd'hui, reliant nos fonctions cérébrales par l'intermédiaire de micro-puces (ou même sans elles, selon la dernière technologie) à des ordinateurs à travers des satellites aux Etats-Unis ou en Israël, pose la plus grave menace pour l'humanité. Les derniers super ordinateurs sont assez puissants pour surveiller la population du monde entier. Que se produira-t-il lorsque les gens seront tentés par de fausses promesses afin de permettre que l'on insère des puces dans leurs corps? Un des leurres sera une "carte d'identité micro-puce". On a même secrètement proposé une législation obligatoire aux Etats-Unis afin de rendre criminel le fait de retirer un implant d'identification. Sommes-nous prêts pour la robotisation de l'humanité et pour l'élimination totale de la vie privée, y compris la liberté de pensée? Combien d'entre nous voudraient céder leur vie entière, y compris nos pensées les plus secrètes, à Big Brother? Pourtant, la technologie existe afin de créer un "nouvel ordre mondial" totalitaire. Les systèmes de communication neurologiques secrets sont en place pour contrecarrer la pensée indépendante et pour contrôler l'activité sociale et politique au nom des intérêts privés et militaires égoïstes. Quand nos fonctions cérébrales seront déjà reliées aux ordinateurs géants au moyen d'implants radio et de micro-puces, il sera trop tard pour la protestation. Cette menace peut être vaincue seulement en instruisant le public, en utilisant la littérature disponible sur la biotélémétrie ainsi que l'information échangée lors de congrès internationaux. Une raison pour laquelle cette technologie est demeurée un secret d'état est le prestige répandu du MANUEL STATISTIQUE DE DIAGNOSTIC IV de psychiatrie produit par l'association psychiatrique américaine (APA) des Etats-Unis, et imprimé dans 18 langues. Les psychiatres travaillant pour les agences d'intelligence américaines ont sans aucun doute participé à l'écriture et à la mise à jour de ce manuel. Cette "bible" psychiatrique dissimule le développement secret des technologies de contrôle de l'esprit en étiquetant certains de leurs effets comme étant des symptômes de la schizophrénie paranoïaque. Les victimes de l'expérimentation du contrôle de l'esprit sont donc diagnostiquées ainsi de façon routinière, sur le mode du réflexe du genou, comme étant mentalement malades par des médecins qui ont appris la liste de "symptômes" du manuel statistique de diagnostic à l'école médicale. On n'a pas enseigné aux médecins que les patients peuvent dire la vérité lorsqu'ils rapportent le fait d'être ciblés contre leur volonté ou le fait d'être utilisés comme cobayes pour des formes de guerre psychologique électroniques, chimiques et bactériologiques. Le temps s'épuise pour changer la direction de la médecine militaire, et pour assurer le futur de la liberté humaine. Rauni Kilde, docteur en médecine, le 6 décembre 2000.

 



01/04/2010
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