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Le mystère des Enfants vert . Les Intra - Terrestres

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Théories de la Terre creuse - Wikipédia

 

Pour  comprendre  le  mystère  des  enfants  verts  ,  il  faut  réflechir  sur  la  théorie  de  la  creuse  .

La  lumière  qui  eclairerait  se  monde  souterrain  proviendrait  du  soleil   , passerait  par  le  trou  des  pôles  .

LES  ENFANTS  VERTS  .

 

Au cours du mois d’août 1887, près de Banjos, en Espagne, deux enfants inconnus sortirent d’une grotte.
Ils avaient la peau verte, les yeux bridés et portaient des vêtements faits d’une matière insolite. Ils ne parlaient pas espagnol.

On les confia au juge de paix local qui tenta d’ôter la couleur verte. Mais, il s’aperçut que ce n’était pas du maquillage, mais bien la pigmentation de leur peau.
Pendant presque une semaine, ils refusèrent de s’alimenter. Finalement, ils acceptèrent de manger des haricots frais.
Le garçon, trop affaibli, mourut peu de temps après. La petite fille survécut. Peu à peu, sa pigmentation verte disparut.
Ayant appris suffisamment d’espagnol pour s’expliquer, elle raconta qu’elle venait d’un pays sans soleil, où régnait un crépuscule permanent.
Ce mystérieux pays était séparé d’une région lumineuse qu’éclairait le soleil par une large rivière.
Un jour, un mystérieux tourbillon les avait emportés, elle et son frère et déposés dans la grotte.
La jeune fille mourut en 1892, sans pouvoir nous éclairer d’avantage sur ce mystère. Cette histoire est très proche de celle des enfants verts qui sortirent d’une grotte de Woolpit (Angleterre), au XIe siècle.
Là aussi, il s’agissait d’un garçon et d’une fille ayant la peau et les cheveux verts. Eux aussi refusèrent tout d’abord toute nourriture et perdirent peu à peu leur étrange pigmentation.

On leur enseigna l’anglais et ils racontèrent leur histoire. Ils dirent venir d’une région appelée « le pays de saint-Martin » où le soleil ne brillait jamais.
Alors qu’ils gardaient un troupeau, ils avaient entendu un grand bruit. Voulant savoir d’où il venait, ils étaient entrés dans un tunnel. Ensuite, ils ne se souvenaient plus de rien.
Le garçon mourut un an après. Sa sœur resta à Woolpit et épousa un homme du village voisin.

On a cherché des explications à ces deux énigmes. On a ainsi observé que non loin de Woolpit se trouve le village de Fornham Saint Martin, qui aurait bien pu être ce mystérieux pays de saint-Martin.
Là s’étend la vaste forêt de Thetford. Cette région est également connue pour posséder de nombreuses galeries d’anciennes mines de silex.
Il s’agit peut-être de l’un de ces souterrains empruntés par les enfants.

La pigmentation verte de la peau s’explique assez facilement. On sait que certaines anémies peuvent rendre la peau verte. Ce symptôme s’aggrave en cas de malnutrition, assez courante à l’époque.
Le fait que la pigmentation soit redevenue normale après plusieurs semaines d’une alimentation plus équilibrée semble en être la preuve.

 

Les enfants verts de Woolpit
 
Une vue d'artiste des enfants sortant de la grotte, inexacte cependant, puisqu'ils auraient porté des vêtements semblables à des robes  
Un beau jour de 1173, à 4 ou 5 miles de Bury Saint Edmunds, près du village de Woolpit, des paysans se rassemblent dans un champ de maïs pour faire la moisson, quand ils remarquent, sortant des fossés caractéristiques de cet endroit 2 enfants à l'apparence étrange : ils sont vêtus de sortes de robes inconnues du coin, et surtout ont la peau verdâtre. Voyant les paysans s'approcher, et visiblement appeurés, ils tentent de s'enfuir, mais sont rattrapés.

Le village de Woolpit  
On les emmêne au village comme une attraction, puis devant à Wikes, à la demeure d'un chevalier, Sir Richard de Calne. Plusieurs victuailles leur sont présentées, mais ils ne mangent rien... jusqu'à ce qu'on leur montre des tiges de haricots. Ils ouvrent les tiges, ne trouvant rien, et pleurent. On leur montre comment ouvrir les cosses, et ils se décident enfin à manger les haricots qui s'y trouvent.

Le garçon, visiblement trop malade, meurt cependant assez rapidement. La fille finit par être engagée au service de De Calne, et même par se marier 4 ans plus tard avec un homme du village voisin, un des ambassadeurs de Henri 2, sous le nom d'Agnes Barre. Elle a 13 enfants.

Le pays de Saint Martin
Une variation courante de l'histoire indique que depuis le pays d'origine des enfants pouvait être vu au loin un pays lumineux, séparé par un grand plan d'eau. En fait la fille aurait décrit son pays comme Non loin d'ici [Woolpit], mais coupé de nous par une grande rivière de lumière. Ce pays, les enfants l'auraient appelé Pays de Saint Martin ou simplement Saint Martin, et que les gens de ce pays étaient tous des chrétiens adorant des églises.

Récits Newburgh (1200)
En l'an 1200, William de Newburgh 1 entreprent de répertorier les divers événements qui eurent lieu sous le rêgne du Roi Stephen, de 1135 à 1154. William n'était pas du genre fantaisiste, et réputé pour ne pas embellir les événements, de sorte que nombre d'historiens aujourd'hui sont intrigués par le récit suivant du moine, relatant un événement étrange qui aurait eu lieu dans la ville du Suffolk de Woolpit, qui se trouve près de Bury Saint Edmonds :

Je me dois ici de n'omettre une merveille, un prodige dont on n'a entendu parler depuis l'aube des temps, qui est connu pour s'être passé sous le Roi Stephen. J'ai moi-même longtemps hésité à lui accorder crédit, bien qu'il ait été ébruité à l'étranger par beaucoup de gens, et je pensais qu'il était ridicule d'accept une chose qui n'avait aucune raison d'être recommandée, ou au mieux avait des raisons d'être très obscure, jusqu'à ce que je fus tant submergé par le poids de tant de témoins crédibles que je fus obligé de croire et d'admirer ce que mon esprit tâche vainement d'atteindre ou de suivre.

Il y a un village en Angleterre à quelques 4 ou 5 miles du noble monastère du Roi Béni et du Martyre Edmund, près duquel pourraient être vues certaines tranchées d'antiquité immemoriale nommées Wolfpittes dans la langue anglaise, et qui ont donné leur nom à la ville adjacente. Lors d'une moisson, alors que les moisonneurs se rassemblaient dans le maïs, rampèrent hors de ces 2 tranchées un garçon et une fille verts en tous points de leur corps, et dotés de vêtements 2 de teinte étrange et de texture inconnue. Ceux-ci errèrent éperdumment aux alentours du champ, jusqu'à ce que les moisonneurs les prennent et les emmènent au village, où nombre affluèrent pour voir cette merveille, ils furent gardés pendant des jours sans nourriture. Mais, lorsqu'ils furent presque morts de faim, et ne pouvaient toujours pas goûter aucune espèces qui leur étaient offertes pour les soutenir, il arriva que des haricots furent apportées du champ, qu'ils saisirent immédiatement avec avidité, et examinèrent la tige for the pulse, mais ne trouvant rien dans le creux de la tige, ils pleurèrent amèrement. Sur ce, un des spectateurs, prenant les fèves dans les cosses, les offrit aux enfants, qui les saisirent directement, et les mangèrent avec plaisir. Par cette nourriture ils furent soutenus durant de nombreux mois, jusqu'à ce qu'ils apprennent l'utilisation du pain.

A la longue, par degrés, ils changèrent leur couleur d'origine, à travers l'effet naturel de notre nourriture, et devinrent comme nous, et aussi apprirent notre langue. Il semblait convenir à certaines personnes discrètes qu'ils devraient recevoir le sacrement du baptême, qui fût administré en conséquence. Le garçon, qui semblait être le plus jeune, survécu au baptême mais peu de temps, et mourrut prématurément ; sa soeur, cependant, poursuivit en bonne santé, et ne différait pas le moins du monde des femmes de notre propre pays. Par la suite, raconte-t-on, elle se marria à Lynne, et vécu à partir de là quelques années, au moins, dit-on.

De plus, après qu'ils eurent acquis notre langue, lorsqu'on leur demanda qui et d'où ils étaient, on dit qu'il répondirent, "Nous sommes des habitants du pays de Saint Martin, qui est considéré avec une vénération particulière dans le pays qui nous a donné naissance". Etant interrogés plus avant quant à l'endroit où se trouvait ce pays, et comment ils vinrent de là jusqu'ici, ils répondirent, "Nous sommes ignorants de ces deux circonstances ; nous ne nous souvenons que de ceci, qu'un certain jour, lorsque nous nourrissions les volailles de notre père dans les champs, nous entendîment un grand son, comme celui auquel nous sommes aujourd'hui habitués d'entendre à Saint Edmund, lorsque les cloches sonnent ; et tout en écoutant le son en admiration, nous entrâmes dans une soudaine, comme ils le dirent, transe, et nous retrouvâmes parmi vous dans les champs où vous étiez en train de récolter". Interrogés sur le fait que les gens de ce pays croyaient au Christ, ou si le Soleil s'y levait, ils répondirent que le pays était chrétien, et possédait des églises ; mais dirent-ils, "Le Soleil ne se lève pas sur les gens de notre pays ; notre pays est peu chéri par ses rayons ; nous nous contentons de cette pénombre qui, chez vous, précède le lever du Soleil, ou suit son coucher. De plus, un certain pays lumineux est vu, pas très loin du nôtre, séparé de lui par une rivière très considerable". Ceci, et bien d'autres choses, trop nombreuses à énumérer, sont dites avoir été racontées aux investigateurs curieux. Laissons dire à chacun ce qu'il veut, et raisonner sur de tels sujets selon ces capacités ; je ne regrette pas d'avoir répertorié un événement si prodigieux et miraculeux.

Coggeshall
Si William de Newburgh avait été le seul rapporteur de cet incident, il aurait été interprété comme un conte de fées hors normes écrit par un moine ayant peut-être imbibé trop d'hydromel, mais l'Abbott Ralph de Coggeshall - un autre scribe monastique contemporain de William vivant juste à 30 miles au sud de Woolpit dans l'Essex, répertoria aussi l'appearition des enfants verts. D'eux, il écrivit :

Une autre chose merveilleuse, arrivée dans le Suffolk, à Sainte Marie des Wolf-pits. Un garçon et sa soeur furent trouvés par les habitants de ce lieu près de la bouche d'un trou qui se trouve là, qui avaient la forme de tous leurs membres comme ceux d'autres hommes, mais ils différaient par la couleur de leur peau de tous les gens de notre monde habitable ; car toute la surface de leur peau était teintée d'une couleur verte.

Personne ne pouvait comprendre leur discours. Lorsqu'ils furent amenés comme curiosités à la maison d'un certain chevalier, Sir Richard de Calne, à Wikes, ils pleurèrent amèrement. Du pain et d'autres victuailles furent disposés devant eux, mais ils ne touchaient à aucun d'entre eux, bien que tourmentés par une grande faim, comme le reconnu par le suite la fille.

Finalement, lorsque de [grands] haricots fraîchement coupés, avec leurs tiges, furent apportés à la demeure, ils firent signe, avec grande avidité, qu'ils devraient leur être donnés. Lorsqu'ils furent apportés, ils ouvrirent les tiges au lieu des cosses, pensant que les haricots étaient à l'intérieur ; mais ne les trouvant pas là, ils commençèrent à pleurer de nouveau. Lorsque ceux qui étaient présents virent cela, ils ouvrirent les cosses et leur montrèrent les haricots nus.

Ils mangèrent ceux-ci avec grand délice, et pendant une longue période ne goûtèrent aucune autre nourriture. Le garçon, cependant, était toujours languissant et déprimé, et il mourrut en peu de temps. Le fille jouissait d'une bonne santé ; et s'accoutûmant à divers types de nourriture, perdit complètement sa couleur verte, et récupéra progressivement l'habitude sanguine de tout son corps. Elle fut par la suite régénérée par l'application du saint baptême, et vécu de nombreuses années au service de ce chevalier (comme je l'ai souvent entendu de lui et de sa famille), et était plutôt dissolue et dévergondée dans sa conduite.

 Etant fréquemment questionnée sur les gens de son pays, elle affirma que les habitants, et tout ce qu'ils avaient de ce pays, étaient d'une couleur verte ; et qu'ils ne voyaient pas de Soleil, mais jouissaient d'un degré de lumière comme ce qui est après le coucher du Soleil.

Interrogée sur la manière dont elle arriva dans ce pays avec le garçon susmentionné, elle répondit que alors qu'ils suivaient leurs volailles, ils arrivèrent à une certaines caverne, dans laquelle en entrant ils entendirent un délicieux son de cloches ; ravis par leur douceur, ils partirent un long moment errer à travers la caverne, jusqu'à ce qu'ils arrivent à sa sortie. Lorsqu'ils en sortirent, ils furent struck senseless par la lumière excessive du Soleil, et le température inhabituelle de l'air ; et reposèrent ainsi un long moment. Terrifiés par le bruit de ceux qui arrivèrent sur eux, ils voulurent s'enfuir, mais ne purent trouver l'entrée de la caverne avant d'être attrapés.




24/10/2011
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