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Mystère de la terre creuse





Cette photo en apparence « anodine », révèle cependant la présence d’un trou noir à proximité du pôle nord photographié par Apollo XI (juillet 1969).
  Ce trou noir semble absorber les nuages vers l’intérieur de la Terre.

Les calculs effectués à partir de l’échelle de la photo aboutissent grosso modo à un diamètre du trou d’environ 900 à 950 Km, soit une circonférence de 2900 à 3000 mètres.
 
Par ailleurs, en regardant ce trou de plus près, on constate une dénivellation dans la hauteur des nuages visibles sur son pourtour. Le dénivelé correspond environ à la moitié du diamètre du trou, soit une épaisseur d'environ 400 km. Or on sait que les plus hautes couches de nuages de l’atmosphère dépassent rarement une altitude de 50 000 pieds {soit 15 km}. Cela signifie que les nuages photographiés à l’intérieur du pourtour du trou sont à environ 385 km en dessous du niveau du sol !!!

Voilà pourquoi cette photo aurait dû faire partie de l’ensemble des documents de la NASA classifiés Top-Secret, car en démontrant l’existence d’un trou béant à l’extrême nord de notre planète, elle contredit toutes les données scientifiques habituellement acceptées par la science officielle. Il s’agit d’un trou tellement immense que l’on arrive même pas à en voir le fond !
Cette photo a été prise au mois de juillet, époque de l’année où il fait jour au Pôle Nord 24 heures sur 24 ; c'est pourquoi le trou dans les nuages est si clair et si visible. Or le fond de ce trou n'est pas blanc, comme devrait le refléter la couche de glace et de neige qui est supposée y rester 365 jours par an. Pourquoi ? simplement parce qu’il n’y en a pas. Et pourquoi n’y en a-t-il pas ? parce que ce trou communique avec le centre de la Terre qui est une région au climat tempéré et agréable en toutes saisons !


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Voici la plus grande expédition de toute l’histoire humaine, mais aussi la plus censurée.
 
 


L’amiral Richard Evelyn BYRD, Grand Chancelier de l’Ordre de la Fayette et de la Croix du Mérite, secrétaire perpétuel de l’Académie Fédérale de la Marine et des Sciences.




 On pourrait donc croire que nous avons là, affaire à un début d’un roman inédit de Jules Verne, si l’on ignore que l’amiral Byrd a participé par la suite à de nombreuses autres expéditions polaires, entre autre en 1929, 1936 ,1947, 1956 à la suite desquelles, il a fait, chaque fois, des déclarations insolites .

D’autres auteurs, empruntent aussi le sillage de Symmes, comme l’américain William Reed en 1906 et surtout un autre américain Marshall B. Gardner, en 1920, ont présenté sensiblement la même conception de la structure de la Terre : Une Terre creuse, ouverte au pôles. Mais la seule différence et elle est de taille, Gardner croit à l’existence d’un soleil central qui est la source de l’aurore boréale.

Voici son expédition:


"Je dois tenir ce journal en cachette et dans le secret le plus absolu. Il concerne mon vol antarctique du 19 Février 1947. Un temps viendra où la rationalité des hommes devra se dissoudre dans le néant, et où l’inéluctabilité de la Vérité devra alors être acceptée. Je n’ai pas la liberté de diffuser la documentation qui suit ; peut-être, ne verra-t-elle jamais la lumière ; cependant, je dois faire mon devoir : la rapporter, ici, avec l’espérance qu’un jour tous puissent la lire, dans un monde où l’égoïsme et l’avidité de certains hommes ne pourront plus mettre la Lumière sous le boisseau.".

..."Sur les étendues de glace et de neige en dessous de nous, on remarque des colorations jaunâtres aux dessins linéaires. La vitesse de croisière est ralentie en vue d’un meilleur examen de ces configurations colorées. On relève aussi des colorations violacées et rosées".

..."Aussi bien la boussole magnétique que le gyrocompas commencent à tourner, puis à osciller ; il n’est pas possible de maintenir notre route à l’aide des instruments. Nous relevons la direction avec le compas solaire ; tout semble encore être en ordre. Les contrôles semblent lents à répondre et à fonctionner ; cependant, nous ne relevons pas d’indication de congélation".

..."29 minutes de vol se sont écoulées depuis le premier repérage de montagnes, Non, il ne s’agit pas d’une hallucination : une petite chaîne de montagnes se dresse là ; jamais, auparavant, nous ne l’avions remarquée".

..."Outre les montagnes, une vallée semble être façonnée par un petit fleuve, ou ruisseau, qui coule vers la partie centrale. Aucune vallée verte ne devrait se trouver ici, en dessous de nous ! Décidément, Il y a quelque chose d’étrange et d’anormal ici ! Nous ne devrions survoler que neige et glace ! Sur la gauche, les pentes des montagnes se parent de grandes forêts. Nos instruments de navigation oscillent, comme fous".


..."Je limite l’altitude à 1.400 pieds, puis j’exécute un virage en rase-motte, à 180° sur la droite, afin de mieux examiner la vallée située au-dessous. Mousse et herbe très fine lui confèrent une coloration verte. Ici, la lumière semble différente. Je ne parviens plus à voir le Soleil. Je vire à nouveau, cette fois sur la gauche, afin de faire un second tour. Nous apercevons un animal énorme qui ressemble à un éléphant ! NON ! C’est un mammouth ! Cela est incroyable ! Pourtant, il en est bien ainsi ! Nous descendons à 1.000 pieds d’altitude ; j’utilise les jumelles pour mieux observer l’animal. Je le confirme, il s’agit bien d’un animal semblable à un mammouth".

..."Nous rencontrons d’autres collines verdoyantes. L’indicateur de température extérieure marque 24 degrés centigrades. Nous maintenons le cap. A présent, les instruments de bord semblent réagir normalement. Je demeure perplexe quant à leurs réactions. Je tente de contacter la base. La radio ne fonctionne pas !".


..."Le paysage alentour parait nivelé et normal. Devant nous, nous repérons... une ville !!! Cela est impossible ! L’avion semble léger et très flottant. Les contrôles refusent de répondre ! Mon Dieu !! A notre droite et à notre gauche, des appareils d’un type étrange nous escortent. Ils s’approchent : quelque chose rayonne de ces appareils. Désormais, ils sont suffisamment proches pour nous permettre de voir leurs armoiries. Il s’agit d’un symbole étrange. Où sommes-nous ? Que s’est-il passé ? Une fois encore, je tire les manettes avec décision. Les commandes ne répondent pas ! Nous sommes solidement maintenus par une sorte d’étau d’acier invisible".

..."Notre radio grésille : une voix nous parvient, qui s’exprime en anglais avec un accent plutôt nordique ou allemand ! Le message est le suivant : - Bienvenue sur notre territoire, Amiral. Nous vous ferons atterrir exactement d’ici à sept minutes. Relaxez-vous, Amiral, vous êtes en bonnes mains. - Je réalise que les moteurs de notre avion sont éteints. L’appareil est sous un contrôle étrange ; maintenant, il vire de lui-même".

..."Nous recevons un autre message radio. Nous sommes sur le point d’amorcer la procédure d’atterrissage ; rapidement, l’avion vibre légèrement ; il commence à descendre, comme soutenu par un ascenseur énorme et invisible".

..."A pieds, quelques hommes s’approchent de l’appareil. lis sont grands ; leurs cheveux sont blonds. Au loin, une grande ville scintille ; elle vibre des couleurs de l’arc-en-ciel. Je ne sais pas ce qui va se passer désormais. Toutefois, je ne remarque aucune trace d’armes sur ceux qui s’approchent de nous. J’entend une voix qui, m’appelant par mon nom, m’ordonne d’ouvrir la porte. J’exécute".


Après ces notes, extraites du ’journal de bord’, l’Amiral annote ce qui s’est passé ensuite :

..."A partir de là, je décris les événements en faisant appel à ma mémoire. Les faits frôlent l’imaginaire ; leur description pourrait être tenue comme relevant de la folie s’ils ne s’étaient pas réellement produits. Une fois extraits de l’appareil, mon mécanicien et moi, nous fûmes accueillis de façon cordiale. Puis, nous fûmes embarqués à bord d’un petit appareil de transport semblable à une plate-forme, mais sans roues ! Il nous conduisit à grande vitesse vers la ville scintillante. A mesure de notre approche, la ville apparaissait faite de cristal. En peu de temps, nous parvînmes à un grand édifice, d’un genre encore jamais vu. Il semblait sortir des dessins de Frank Liloyd Wright ou, peut-être plus précisément, d’une scène de Buck Regers !


Une boisson chaude à la saveur inconnue nous fut offerte. Elle était délicieuse. Environ 10 minutes après, deux de nos hôtes étonnants entrèrent dans notre cabine. lis m’invitèrent à les suivre. Je n’avais pas d’autre choix que celui d’obéir. Je laissai mon mécanicien-radio. Nous marchâmes jusqu’à ce qui me paraissait être un ascenseur. Nous descendîmes durant quelques instants, puis l’ascenseur s’arrêta ; la porte glissa silencieusement vers le haut. Nous allâmes au long d’un couloir éclairé par une lumière rose qui semblait émaner des murs ! L’un des êtres nous fit signe de nous arrêter devant une grande porte, surmontée d’un écriteau que je n’étais pas en mesure de lire. La grande porte disparut sans bruit. Je fus convié à m’avancer. L’un des hôtes dit : - N’ayez pas peur, Amiral, vous allez avoir un entretien avec le Maître. - J’entrai. Mes yeux s’adaptèrent lentement à la coloration merveilleuse qui semblait envahir complètement la pièce. Alors, je commençai à entrevoir ce qui m’entourait. Ce qui s’offrit à mes yeux était la vision la plus extraordinaire de toute ma vie. Elle était trop magnifique pour être décrite. Elle était merveilleuse. Je ne pense pas qu’il existe des termes humains à même de la décrire avec justesse dans tous ses détails. Mes pensées furent doucement interrompues par une voix chaude et mélodieuse : "Bienvenue sur notre territoire, Amiral". Je vis un homme aux traits délicats qui portait les signes de l’âge sur son visage. Il était assis à une grande table. Il m’invita à m’asseoir sur une chaise. Dès que je fus assis, il unit les bouts de ses doigts, puis il sourit. Il s’exprima à nouveau avec douceur : - Nous vous avons laissé entrer ici parce que vous êtes d’un caractère noble, et aussi parce que vous êtes bien connu dans le monde de surface, Amiral ! - Monde de surface ! Je restai sans souffle !

"Oui - ajouta le Maître avec un sourire - vous vous trouvez sur le territoire des Aryens : le monde submergé de la Terre. Je ne retarderai pas longtemps votre mission ; en toute sécurité, vous serez escortés lors de votre retour à la surface, et même un peu plus loin. A présent, Amiral, je vous ferai connaître la raison de votre convocation ici. Notre intérêt débuta tout de suite après l’explosion des premières bombes atomiques lancées par votre race, sur Hiroshima et Nagasaki, au Japon. En ce moment inquiétant, nous avons envoyé nos engins volants, les "Flugelrads", sur votre monde de surface pour enquêter sur ce que votre race avait fait. D’évidence, il s’agit là d’une histoire ancienne, Amiral ; cependant, permettez-moi de poursuivre. Voyez-vous, jamais, nous ne sommes intervenus avant l’heure dans les guerres et les barbaries de votre race, Pourtant, à présent, nous nous trouvons contraints à le faire, étant donné que vous avez appris à manipuler un type d’énergie, atomique, qui n’est pas du tout fait pour l’homme. Nos émissaires ont déjà remis des messages aux puissances de votre monde. Elles ne s’en sont pas préoccupées. Vous avez été choisi pour être témoin, ici, que notre monde existe. Voyez-vous, notre culture et notre science ont des milliers d’années d’avance sur les vôtres, Amiral". Je l’interrompis : "Mais qu’est-ce que tout cela a à voir avec moi, Seigneur !". Les yeux du Maître semblèrent pénétrer profondément mon esprit, Après m’avoir étudié un peu, il répondit : "Votre race a atteint le point de non retour, parce que certains, parmi vous, détruiraient votre monde tout entier plutôt que de renoncer au pouvoir tel qu’ils le connaissent...".

 ’acquiesçais. Le Maître poursuivit : "Depuis 1945, nous avons tenté d’entrer en contact avec votre race, Nos efforts ont toujours été accueillis avec hostilité : on a tiré sur nos flugelrads. Oui, ils furent même poursuivis avec agressivité et animosité par vos avions de combat. Aussi, vous dirai-je, mon fils, qu’une grande tempête se profile à l’horizon de votre monde : une furie noire qui ne s’épuisera pas des années durant. Vos armes ne serviront aucunement à votre défense ; votre science ne vous garantira aucune sécurité. Cette tempête sévira aussi longtemps que toute fleur de votre culture n’aura pas été piétinée, toute création humaine dispersée dans le chaos. Pour votre race, la récente guerre n’a été que le prélude à ce qui doit encore survenir. Ici, nous pouvons nous en rendre compte plus clairement à chaque heure qui passe... Pensez-vous que je me trompe ?". "Non - répondis-je - cela est déjà survenu par le passé ; les années obscures viendront ; elles dureront cinq cent ans". "Oui, mon fils répliqua le Maître - les années obscures qui viennent pour votre race recouvriront la Terre comme une couverture. Toutefois, je crois que certains survivront à la tempête, je ne sais rien d’autre ! Nous voyons, dans un futur lointain, des ruines de votre race, émerger un monde nouveau, à la recherche de ses trésors légendaires perdus ; ils seront en sûreté, mon fils, ici, en notre possession. Lorsque le moment viendra, nous nous avancerons à nouveau pour aider votre culture et votre race à vivre. Alors, peut-être aurez-vous appris la futilité de la guerre et de ses luttes... Dès lors, une partie de votre culture et de votre science vous sera restituée, afin que votre race puisse recommencer son évolution. Vous, mon fils, vous devez retourner dans le Monde de Surface, porteur de ce message...". Ces dernières paroles semblaient devoir conclure notre entretien. Un instant, j’eus l’impression de vivre un rêve... pourtant, je le savais, il s’agissait bien de la réalité. Pour quelque étrange raison, je m’inclinais légèrement ; je ne sais si ce fut par respect ou par humilité. Tout à coup, je réalisai que les deux hôtes étonnants qui m’avaient conduit ici se trouvaient de nouveau à mes côtés. "Par ici, Amiral", m’indiqua l’un d’Eux. Avant de sortir, je me retournai encore une fois ; je regardai le Maître. Un doux sourire se dessinait sur son délicat visage de vieillard. "Adieu, mon Fils", me dit-il en esquissant un geste très doux de sa main frêle, un geste de paix. Ainsi, prit fin notre rencontre. Nous sortîmes doucement par la grande porte de la pièce où se tenait le Maître, puis nous entrâmes de nouveau dans l’ascenseur. La porte s’abaissa silencieusement ; aussitôt, l’ascenseur s’éleva.
                           


L’un de mes hôtes reprit la parole : "Maintenant, nous devons nous dépêcher, Amiral ; en effet, le Maître ne veut pas retarder davantage votre programme ; vous devez retourner parmi votre race avec Son message". Je ne répondis pas. Tout cela était inconcevable. L’arrêt de l’ascenseur interrompit mes pensées. J’entrai dans la salle où se tenait toujours mon mécanicien radio. L’anxiété marquait son visage. Je m’avançai vers lui en disant : "Tout va bien, Howie, tout va bien". Les deux êtres nous firent un signe montrant l’appareil en attente. Nous sortîmes pour regagner rapidement notre avion. Les moteurs tournaient au ralenti ; nous embarquâmes immédiatement. Un certain état d’urgence planait dans l’atmosphère. Dès que la porte se fut refermée, une force invisible transporta l’avion vers le haut, jusqu’à une altitude de 2.700 pieds. Deux de leurs appareils nous escortaient à bonne distance. lis nous firent planer sur le chemin du retour. Je dois souligner que le compteur de vitesse n’indiquait rien, bien que nous nous déplacions à grande vitesse.

...Nous reçûmes un message radio : "A présent, nous allons vous quitter, Amiral ; vos contrôles sont libres.
Wiedersehen !!!". Un instant, nous suivîmes du regard les flugelrads, jusqu’à ce qu’ils disparaissent dans un ciel bleu glacier. L’avion sembla capturé par un courant ascensionnel. Immédiatement, nous en reprîmes le contrôle, Nous gardâmes le silence durant un certain temps ; chacun de nous était immergé dans ses propres pensées.

...De nouveau, nous survolâmes des étendues de glace et de neige, à environ 27 minutes de notre base. Nous envoyâmes un message radio. On nous répondit. Nous rapportâmes des conditions normales... normales. Le camp de base exprima un grand soulagement lorsque le contact fut établi de nouveau.

...Nous attirâmes doucement sur la base. J’avais une mission à accomplir.
...11 Mars 1947. Je viens d’avoir un entretien à l’Etat Major du Pentagone. J’ai entièrement rapporté ma découverte ainsi que le message du Maître. Tout fut soigneusement enregistré. Le Président fut mis au courant. Des heures durant (6 heures et 39 minutes, très exactement), je fus soumis à la question. Les Top Security Forces, assistées d’une équipe médicale menèrent un interrogatoire très poussé. Quel calvaire !!! Les forces de la Sécurité Nationale des Etats Unis d’Amérique me placèrent sous contrôle rigoureux. Il me fut rappelé qu’en tant que militaire, j’avais l’obligation d’obéir aux ordres.

...Dernière annotation : 30 Décembre 1956. Toutes les années qui se sont écoulées depuis 1947 n’ont pas été bonnes... D’où ma dernière annotation dans ce journal personnel. Je termine en affirmant que, durant toutes ces années, j’ai scrupuleusement maintenu ce sujet sous le sceau du secret, comme il me le fut ordonné. J’ai dû le faire à l’encontre de tous mes principes d’intégrité morale. A présent, je sens la grande nuit s’approcher ; ce secret ne mourra pas avec moi ; comme toute Vérité, il triomphera ! C’est le seul espoir pour le genre humain. J’ai vu la Vérité ; Elle a fortifié mon esprit en m’accordant la liberté ! J’ai fait mon devoir vis à vis du monstrueux complexe industriel militaire. La longue nuit commence à tomber ; cependant, il y aura un épilogue. A l’exemple de la longue nuit Antarctique qui se termine, le Soleil resplendissant de la Vérité se lèvera de nouveau, et ceux qui appartiennent aux ténèbres périront sous Sa Lumière... Parce que j’ai vu "cette Terre au-delà du Pôle, ce Centre du Grand Inconnu".

 
Hé! Oui! Il y a des livres qui expliquent ce qu'il en est. Dans le livre «La Terre creuse» le Dr raymond Bernard raconte diverses expériences vécues par des explorateurs du Pôle Nord qui se sont introduits dans la Terre et qui ont décrit les paysages, la faune, la flore et les humains qui y vivent et qu'ils ont rencontrés. [Aux Éditions Albin Michel il y a quelques décennies, côté français]. Le centre de la Terre contiendrait deux « Soleil » selon Rampa {et un seul selon certains explorateurs}, qui seraient la cause occasionnelle d'aurores boréales quand les glaces le permettent.

Rampa nous dit que l'espace libre de l'intérieur de la Terre pourrait contenir un volume correspondant à 5 Lunes. Il dit que la masse de la terre est condenser dans une croûte ou couche tout autour de la surface d'une certaine épaisseur [je ne me souviens plus de l'épaisseur qu'il indiquait]. De plus, il indique l'existence de tunnels permettant d'aller à l'intérieur à partir de la surface extérieur de la terre, et entre autres à partir des Himalayas. Il a lui-même visité un tel tunnel, qu'un groupe de moines tibétains avaient parcouru durant 6 mois sans arriver au bout...

Il raconte que des atlantes s'y sont installés il y a un peu plus de 12 000 ans avec leur technologie. De là, ils nous surveillent de très près, usant parfois de leurs véhicules spaciaux pour visiter la surface extérieure. Nous les prenons pour des extraterrestres quand nous les observons.

Alors qu'en pensez-vous?

 
Chaque planète est vivante et apporte au système en fonction de ses aptitudes, chaque planète étant comme un organe à l'intérieur d'un corps qui est le système solaire dont le soleil est le cœur.

Signaux radio du centre de la Terre reçus par la NASA :

Le très sérieux journal canadien ''Weekly World News'' a publié le 14 février 1995 un article qui prouve à nouveau la théorie de la Terre creuse.
Voici le titre de cet article : « Cap Canaveral, Floride - La NASA reçoit des signaux radio qui viennent de l'intérieur de la Terre. Des experts pensent que ces signaux sont émis par une forme de vie intelligente et très développée ! »

Un haut responsable de la NASA qui ne veut pas dire son nom affirme dans l’article qu’il existe sous terre des êtres qui cherchent à entrer en communication avec nous. « Quels qu’ils soient, - dit-il - ils disposent d'une technologie qui est capable d'envoyer des signaux à travers l'écorce terrestre, des centaines de kilomètres de terre et de roche ».

Des scientifiques auraient perçu les premiers signaux le 30 octobre 1994, grâce à des satellites très sensibles. Depuis ce jour, les émissions se sont renouvelées à intervalles réguliers, déclare le responsable de la NASA. « Les signaux radio seraient composés d'un code mathématique très complexe, qui nous a convaincus que nous étions en contact avec une colonie d'êtres vivants dont l'intelligence est sans doute supérieure à la nôtre ». Il précise que les scientifiques n'ont pas eu trop de mal à déchiffrer les messages, mais il a refusé plusieurs fois de révéler ce qu'ils contenaient.

« Je ne dirais pas que les messages sont de nature hostile, mais leur contenu pourrait provoquer des controverses et des inquiétudes », ajoute-t-il. « Comme beaucoup d'éléments dépendent de l'interprétation, je suis d'avis d’attendre avant de déclarer quoi que ce soit qui pourrait mettre l'opinion publique dans un état d'excitation et d'anxiété ».

L'informateur continue en expliquant que les scientifiques de la NASA sont frustrés par le fait qu'ils n'ont pas réussi à localiser cette « civilisation souterraine », et qu'ils ne sont pas en mesure, avec la technologie dont ils disposent, de répondre aux messages. « Ils en savent plus sur nous, que nous sur eux. Ils ont ainsi trouvé un moyen de communiquer avec nous, de façon régulière; nous, par contre, ne savons mêmes pas comment les joindre. Leurs messages montrent qu'ils ont des connaissances étendues sur la vie à la surface de la Terre, alors que nous n'avons pas d'explications sur la possibilité du développement et de la survie d'une vie intelligente dépourvue d'oxygène et de soleil » (Note d’O.D.R. : à moins que la Terre ne soit creuse, qu’il n’y ait à l’intérieur une source d’énergie et de lumière, et de l’oxygène en abondance, comme cela a été confirmé par Omraam Mikhaël Aïvanhov et de nombreux clairvoyants).


Le responsable de la NASA ajoute que les scientifiques estiment que cela pourrait être la découverte la plus importante et la plus retentissante depuis des siècles. Et l’article finit par cette phrase : « Nous avons longtemps espéré devenir les maîtres de l’univers ; maintenant nous reconnaissons qu'il existe des territoires inexplorés à l'intérieur même de notre planète, ce qui pourrait être de première importance pour notre avenir ».

Que contiennent réellement ces messages ? Pourquoi la NASA se sent-elle mal à l'aise de révéler à l'opinion publique qu'elle est en communication avec l'intérieur de la Terre ? Quelles sont les exigences contenues dans ces messages qui poussent la NASA à refuser d'en parler ? Comme les messages ne semblent pas hostiles, ils ne peuvent donc pas mettre sérieusement les populations en danger. Ce sont donc une fois de plus les forces politiques et économiques qui se sentent menacées et qui imposent leur veto à la diffusion de l’information. C'est certainement la raison pour laquelle les scientifiques ont soi disant « besoin de temps pour interpréter correctement » les messages souterrains, avant qu'ils ne soient rendus publics.
 
Tout cela rappelle étrangement les aventures de l’amiral Byrd, au cours de son vol du 19 février 1947 dans la région polaire, et ce qu’il lui est ensuite advenu, quand il a voulu publier les messages des habitants du Centre de la Terre.

Mais, contrairement à ce qui s’était passé à cette époque, où l’on l’avait réduit au silence en ridiculisant la théorie très ancienne de la Terre creuse, les scientifiques semblent aujourd’hui vouloir préparer l’humanité pas à pas è la réalité d’une Terre Creuse. C’est aussi un acte d’humilité qui leur est demandé, car indirectement, cela les amènera à admettre que la théorie du noyau terrestre ferrugineux en fusion qu’ils ont soutenue depuis des décennies ne tient pas.

Mais pour le moment, chacun continue à mentir, y compris le responsable de la NASA cité dans l’article, puisqu’il affirme que « nous n’avons aucun moyen de communiquer avec cette civilisation. » D’autres sources affirment pourtant que ces êtres essaient au contraire depuis longtemps de faire comprendre à nos dirigeants que le surarmement et l’énergie nucléaire peuvent signifier notre perte, ce qui implique que des échanges ont bien eu lieu et que s’ils en avaient la possibilité, les êtres de la Terre Creuse ne se contenteraient pas d’une communication à sens unique. En réalité, ce mensonge de la part de la NASA la dégage de la responsabilité de publier toute information à ce sujet.

Apparemment, la civilisation souterraine n’est pas seulement plus développée que la nôtre, elle connaît également les conditions qui règnent dans notre monde, et elle est capable non seulement d’envoyer des messages codés que la NASA n’a aucun mal à déchiffrer, mais également de recevoir la totalité des informations émises depuis l’ensemble la surface de notre planète.



16/01/2010
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