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Nos pensées imprègneraient les murs de nos maisons


 

 

Les pierres pourraient avoir une autre propriété intéressante qui mérite des recherches sérieuses. En 1982, Tafter, le propriétaire de la « Prince of Wales Inn » (Auberge du Prince de Galles) à Kenfig dans le Mid-Glamorgan, Pays de Galles, se plaignit d’une musique d’orgue et de voix qui le gardait éveillé la nuit.


Pour étudier le problème, John Marke, ingénieur électricien, et Allan Jenkins, chimiste industriel, connectèrent un soir des électrodes aux murs du pub, après la fermeture.
Ils envoyèrent 20.000 volts dans les électrodes et enfermèrent des enregistreurs dans la pièce pendant quatre heures. Lorsque les bandes furent analysées, il fut constaté qu’elles avaient enregistré des voix parlant en vieux gallois, de la musique d’orgue, et le tic-tac d’une horloge. Il se fait qu’il n’y avait pas d’horloge dans la salle à cette époque. Il a été suggéré que les pierres du mur contenaient des substances semblables à celles qui se trouvent dans les bandes d’enregistrement actuelles.

Toute  nos  pensées  imprègneraient  les  murs  de  nos  maisons  .   Et  cette  mémoire  qui  serait  restituée  continuellement  influencerait  la  venue  des  nouveaux  locataires  ou propriétaires  .

Lorsque nous émettons une pensée, celle-ci se transforme en petit nuage au-dessus de nous, à l’image des bulles des bandes dessinées. Une fois créée par notre esprit, elle peut soit rester au-dessus de nous et nous maintenir dans l’énergie (souvent négative) qui lui a donné naissance, soit parcourir l’univers au gré des pensées voisines. Elle peut ainsi « vagabonder », survoler les lieux en quelque sorte, s’introduire dans nos maisons, nos bureaux attirée par une autre forme pensée de même vibration ou une personne présentant une façon de penser identique. Par exemple, une forme pensée de colère ou de jalousie rejoindra plutôt les rangs de ce type d’émotions qu’une pure pensée d’amour. Cela explique comment une forte colère peut facilement se propager parmi les membres d’un groupe qui émettront à leur tour cette énergie négative. Celle-ci encore plus forte, attirera à elle toutes les autres à proximité, et ainsi de suite.

 

Je suis d’ailleurs certain que nous avons tous au moins une fois dans notre vie connu un endroit, une maison, un bâtiment, qui nous donnait des frissons ou du moins qui nous mettait mal à l’aise ou à l’inverse, où nous nous sentions en paix, en harmonie, bien au-delà de l’habituel. Nous connaissons cette sensation. Il y a fort à penser que nous étions en liaison directe avec la mémoire du lieu.

 

 

Nos (fortes) pensées, nos émotions, nos formes pensées une fois émises laissent leur empreinte sur les murs ou plus globalement, à l’endroit où elles sont émises. Ainsi nul besoin d’être sur un lieu de crime ou de massacre pour avoir une désagréable sensation .

 Il suffit comme nous le mentionnons dans l’exemple donné sur notre site d’être en contact avec des mémoires d’émotions fortes .

 

Dans le cas cité, la personne « hébergeait » dans sa salle de bain ainsi que dans sa propre chambre, des émotions de colère liées à un divorce difficile et dans une autre chambre, anciennement celle de l’enfant, une émotion d’infinie tristesse. Ces énergies, (une entité du mental pour la salle de bain), se nourrissaient de la mémoire des murs tout en l’entretenant elles aussi à son tour. La propriétaire nous avait expliqué que son divorce appartenait maintenant au passé et que tout avait été « digéré ». La présence de cette mémoire et l’énergie de colère révélaient en fait qu’il n’en était rien. Cette personne subissait leur influence négative mais l’entretenait elle aussi par sa propre colère refoulée.

 

 

Avant même de travailler en énergétique, j’ai souvent entendu parler de maisons « à divorce », de pertes d’emplois ou de problèmes financiers, de maladies récurrentes pour les habitants successifs. Les mêmes situations, les mêmes drames semblent s’y répéter sans cesse. Pas plus tard qu’à notre dernière conférence, une personne dans la salle nous expliquait qu’elle habitait avec son mari une maison où deux personnes successives avaient souffert de la maladie d’Alzheimer. Après plusieurs mois, son époux a lui aussi déclaré une maladie similaire. Il est évident que ce n’est pas la maison qui en est la cause, il n’y a pas eu de « contamination ». Malgré tout, la mémoire du lieu entretient la maladie en maintenant l’homme à un taux vibratoire bas correspondant à cette pathologie. En outre, depuis qu’elle connait l’histoire des habitants antérieurs, son épouse est maintenant persuadée qu’ils sont sous l’emprise de la fatalité, renforçant ainsi des formes pensée de maladie. La boucle est bouclée… Comme dans le cas de la personne divorcée qui a choisi inconsciemment d’habiter la maison d’un couple divorcé, ces deux dernières personnes ont choisi un lieu en résonance avec la maladie latente du mari. Ainsi la mémoire des murs peut nous révéler le passé énergétique du lieu et agir directement sur nous en faisant surgir nos propres problématiques. Plutôt que pour notre malheur, elle est là aussi pour montrer du doigt ce que souvent, nous refusons de voir. Par exemple Aline, la personne divorcée n’avait pas terminé son divorce. De même et selon la symbolique d’une maladie qui touche la mémoire (justement), nous pourrions (mais chaque cas est unique, attention aux conclusions hâtives) nous demander ce que l’homme veut oublier ou ne plus voir dans sa vie. 



14/07/2011
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