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Une réaction chimique responsable de l' écroulement des twins towers

http://www.dailymotion.com/video/x3trak_demolition-du-11-septembre-2001_tech

Image IPB 

Les Twin Towers en feu après avoir été percutées par deux avions, le 11 septembre 2001.

SCIENCES - La combinaison d'aluminium en fusion et d'eau produit des explosions phénoménales...

C'est la rencontre explosive entre l'aluminium en fusion provenant des Boeing 767 détournés par les terroristes et l'eau du système anti-incendie qui a provoqué l'effondrement des tours du World Trade Center le 11 septembre 2001, estime un expert en matériaux norvégien.

Selon un expert norvégien en matériaux, c'est la rencontre explosive entre l'aluminium provenant des Boeing 767 détournés et l'eau du système anti-incendie des tours jumelles qui aurait provoqué l'effondrement des tours le 11 septembre 2001, rapporte Libération.fr.

Dix ans après la catastrophe, les scientifiques ont peut-être élucidé l'énigme de l'effondrement des tours du World Trade Center le 11 septembre 2001. Ce serait une réaction chimique entre l’aluminium en fusion provenant des Boeing 767 détournés par les terroristes et l’eau du système anti-incendie qui serait à l'origine de la chute des Twin Towers. Du moins si l'on en croit la théorie avancée par un expert en matériaux norvégien qui contredit ainsi le scénario jusqu'ici établi. En effet, la commission d’enquête officielle sur ces attentats a conclu que les poutres métalliques formant la structure interne des Twin Towers avaient été chauffées à blanc dans l’incendie des tours et avaient fini par céder.

Mais cette explication a été jugée erronée par Christian Simensen, chercheur au département Matériaux et Chimie du Sintef le plus important organisme indépendant de recherches en Scandinavie. D’après sa théorie, l’aluminium composant la carlingue des deux avions est entré en fusion sous l’effet de l’incendie avant de couler vers les étages inférieurs où il est entré en contact avec l’eau projetée par le système anti-incendie. C’est ainsi la rencontre des deux éléments qui a provoqué une explosion dévastatrice, résume Libération.fr.

Aluminium en fusion

"La combinaison d’aluminium en fusion et d’eau produit des explosions phénoménales, comme le démontrent à la fois les expériences scientifiques et 250 accidents recensés par les industriels de l’aluminium depuis 1980", précise Christian Simensen dans son étude, publiée dans la revue spécialisée Aluminium International Today et présentée récemment dans une conférence à San Diego (USA).

L'une des expériences évoquées a mis en présence 20 kilos d’aluminium fondu et 20 litres d’eau, auxquels a été ajoutée de la rouille pour faire office de catalyseur. Il s’en est alors suivi une déflagration qui a détruit tout le laboratoire et laissé un cratère de 30 mètres de diamètre, affirme le chercheur.

Or, chaque Boeing qui s’est écrasé sur les tours du World Trade Center contenait trente tonnes d’aluminium. Et ces avions qui ont percuté les tours "devaient être couverts de fragments des parois internes, des plafonds et des planchers, des débris qu’ils ont entraînés avec eux en s’encastrant à l’intérieur des bâtiments", exactement comme une météorite qui s’abat sur la Terre en entraînant à sa suite les sédiments du sol, relève Libération.fr.

"Ces débris étaient essentiellement constitués de plâtre, un matériau qui conduit très mal la chaleur, et ils ont probablement formé un bouclier qui a maintenu la chaleur près de la carlingue et protégé le reste du bâtiment", poursuit M. Simensen. C’est donc cette sorte de bouclier thermique qui aurait permis à l’incendie provoqué par le carburant des avions de porter les carlingues prisonnières à des températures intenses.

Libération d'un gaz explosif, l'hydrogène

"L’alliage d’aluminium des carlingues, qui contient aussi du magnésium, fond à partir de 660°C. Et si l’aluminium est porté à 750°C, il devient aussi liquide que de l’eau", explique Christian Simensen, qui pense que ce phénomène s’est produit au sein des Twin Towers. C’est en coulant ensuite vers les étages inférieurs, que plusieurs tonnes d’aluminium seraient entrées en contact avec l’eau du système anti-incendie. Comme au sein de l’expérience menée en laboratoire, la rencontre de ces deux éléments a provoqué une réaction immédiate : une augmentation de la température de plusieurs centaines de degrés et la libération d’hydrogène, un gaz très explosif. Le tout a produit une déflagration assez puissante pour souffler toute une section de la tour. 

Au final, comme un château de carte, les étages supérieurs se sont effondrés, emportant ceux d’en-dessous dans leur chute. Un scénario qui semble concorder avec les témoignages de plusieurs personnes qui affirment avoir entendu des explosions juste avant que les bâtiments ne s’effondrent.




24/09/2011
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