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Antigravité et moteur ovoïde .

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 Le  moteur  ovoïde .


En effet en faisant tourner un poids autour d'un axe en décrivant une trajectoire ovoïde, il se crée une augmentation de la force centrifuge par rapport à la force centripète, proportionnelle à la force de rotation.
Il venait d'inventer la lévitation mécanique. Tout les systèmes actuels pouvaient être adaptés à cette nouvelle technologie.

Au milieu des années 30, un groupe de recherche confidentiel fut créé à l'université de Princeton sous le nom d'A.I.A.S. (American Institute for Advanced Science) ou institut américain de science avancée, pour explorer les domaines frontière de la physique tels que l'énergie du vide, l'antigravité et la distorsion spatio-temporelle. Ce groupe, placé sous la direction de Von Neumann, comprenait entre autres Nicolas Tesla, Albert Einstein et Townsend Brown. IL forma le premier noyau de recherches, essentiellement théoriques, sur les moyens de contrôler la gravitation. L'AIAS survécu à la deuxième guerre mondiale sous la forme d'une association publique, qui est toujours active aujourd'hui mais ne s'occupe plus que de physique théorique classique. Après la découverte, dans les ruines de l'Allemagne nazie, des travaux Allemands sur L'antigravité, l'armée américaine entreprit d'énormes programmes secrets de recherche dans ce domaine. Trois voies de recherches différentes furent explorées, la première explora l'effet Biefeld-Brown, la deuxième les technologies dérivées d'ovnis capturés et la dernière, celle qui nous intéresse aujourd'hui, l'antigravité par rupture de champ magnétique.


En 1950, il poursuivit ses recherches en se servant d'une dynamo rotative composée de bagues collectrices ou disc-rotor segmenté, que l'on mettait en rotation à grande vitesse parmi des électroaimants situés dans sa périphérie.Avec l'aide d'un ami, Searl transporta son appareil dans un champ et le mit en route au moyen d'un petit moteur. Comme prévu, sa génératrice produisit de l'électricité mais à un taux qui dépassa largement ses attentes.Searl dit : " Une fois que la machine a dépassé un certain seuil de potentiel, l'énergie à la sortie excédait celle d'entrée. A partir de ce moment, la production d'énergie semblait virtuellement sans limites. "
C'est alors que se produisit un phénomène totalement inattendu. Le rotor se mit à accélérer, puis l'appareil commença à s'élever de terre, rompit le cordon d'alimentation qui le rattachait au moteur et se mit à flotter dans l'air en tournant de plus en plus vite, et continua à grimper jusqu'à une altitude de quinze à vingt mètres à laquelle il se stabilisa quelques temps.

Le  generateur  Anti - Gravitationnel  de  John  Searl   sera  complété  par  l' ingénierie d' un autre  Chercheur  Otis  Carr  .

En 1947, Carr avait terminé ses recherches sur un véhicule volant (ressemblant au disque à lévitation de Searl). Il a essayé d’intéresser des services gouvernementaux et des universités, en vain car ils étaient tous davantage axés sur la fission atomique. Comme beaucoup d’autres inventeurs, il s’est orienté vers l’aspect éducatif et récréatif de son œuvre. Il a déposé un brevet (n° 2.912.244) d’appareil – jouet qui reflète très fidèlement les proportions et la conception de son véhicule volant à antigravitation. Le principe de fonctionnement énoncé par Carr était que " tout véhicule accéléré vers un axe par rapport à sa masse inertielle d’attraction devient immédiatement activé par l’énergie de l’espace et agit comme une force indépendante."

Carr se serait inspiré de la fin du brevet anglais n° 300.311 de T.T. Brown en transformant le moteur cylindrique en un moteur bicônique créant spécialement autour de lui un champ non uniforme grâce à sa forme combinée avec sa rotation. Il a placé au centre un autre bicône plus gros qui pouvait servir à donner une énergie locale et aussi à créer un autre champ non uniforme au centre. Bien que confirmées, les affirmations de Carr n’expliquent pas l’échange et l’extrême polarisation qui se produit entre le disque de fer à segments et les électroaimants du pourtour qui donnent une annulation du champ gravitationnel et permettent un vol antigravitationnel.

Dans le disque de Carr se trouve un composant clé, le Utron, constitué de condensateurs métalliques en rotation dont la forme est inhabituelle, carrée dans un plan et ronde dans un autre plan à 90 °. Cet Utron a la même fonction - composant inductif rotatif à haute vitesse - que les plaques d’acier à segments de Searl.

Cette utilisation d’un composant condensateur en rotation planétaire muni d’une capacité de stockage de charge mesurable et à vitesses périphériques élevées est intéressante.

Dans le disque de Searl comme dans celui de Carr, la charge accumulée provenant de l’élément en rotation est déchargée dans des électroaimants sur le pourtour du disque. Sur le disque de Carr, la zone plate contient des réserves de condensateurs uniformes qui font osciller les charges reçues par les aimants des bords.
L’ajout de l’Utron de Carr paraît améliorer la technologie antigravitationnelle de base de Searl, les deux en obtenant ainsi une crédibilité renforcée. La fonction du condensateur améliore la sortie à sur-unité de ces appareils




24/11/2010
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