Désertec . Energie solaire et radio - frequence
Technologie : Projet Desertec : une centrale solaire gigantesque ...
Un projet gigantesque serait en cours d' élaboration . Celui de la construction d' énorme centrale solaire qui seraient implantés dans le sahara . Le seul incovénient serait le transport de l' électricité . Certains ont envisager des cables qui apporteraient l' électricité jusqu' à l' europe .
Mais je pense que la solution viendrait des centrales solaires de l' espace . En effet des ingenieurs ont imaginé la conception de véritable centrale solaire en orbite autour de la terre .
Selon le projet défendu par Solaren, 200 MW de panneaux solaires pourraient être envoyés dans l'espace. L'énergie y serait alors captée 24/24h et transmise au sol par radio-fréquence vers une station de réception à Fresno.
Donc dans le futur DESERTEC utilisera les radio - frequence pour transporter l' électricité du sahara vers l' europe . Des stations réceptrices puis émettrice relais seraient construite en Afrique du Nord .
l' électricité qui sera emmagasiner dans ses stations relais sera envoyé vers l' europe du sud . Et là des stations relais réceptionneront le signal électrique qui sera ensuite envoyé vers une multitudes de centrales relais disséminé à travers toute l' europe . Et de là , elles alimenteront nos ville en électricité . Voir lien suivant .
MIT . Fin des pylones électriques
Les centrales solaires de l' espace
Une centrale solaire dans l'espace : réalité en 2016 ? > Solaire ...
Si l'on transmettait de l'énergie solaire directement de l'espace, les missions de secours pourraient faire fonctionner leurs appareils à l'aide de quelques antennes et de transformateurs portatifs. Les campeurs pourraient aussi se servir de cette énergie pour préparer leurs repas avec rien d'autre qu'un appareil cellulaire ressemblant à un téléphone.
Toutefois, les principaux bénéficiaires de ce progrès technique seraient les nombreuses agglomérations qui seraient à même d'utiliser l'énergie solaire spatiale transmise dans les réseaux de distribution de l'électricité. Des centrales solaires terrestres existent déjà à travers le monde. Toutefois, le rayonnement solaire est huit fois moins intense sur la surface terrestre que dans l'espace. Pourquoi donc ne pas le capter dans l'espace et propulser son énergie vers la Terre sous la forme de micro-ondes qui pourraient pénétrer l'atmosphère plus efficacement ? Telle est la question que se posent des chercheurs américains.
Ceux-ci ont proposé à cet effet de placer sur orbite d'énormes satellites, des structures gonflables dotées de panneaux photovoltaïques et d'antennes. Les stations de réception au sol transformeraient l'énergie transmise en électricité, voire en carburants synthétiques, qui, contrairement à l'électricité produite par les stations solaires terrestres, alimenterait sans interruption le réseau électrique quelles que soient les saisons, les conditions météorologiques ou les zones géographiques.
Des études dès les années 90
Le ministère de l'énergie et l'Administration nationale de l'aéronautique et de l'espace (NASA) étudient cette idée depuis plusieurs années. Au milieu des années 1990, une étude de la NASA réalisée sous la direction de M. John Mankins a abouti à l'établissement d'un plan de recherche et de développement qu'a adopté le Conseil national de la recherche. Les auteurs de cette étude ont envisagé de placer sur orbite géostationnaire, d'ici à 2050, plusieurs dizaines de centrales solaires capables de transmettre de 2 à 5 gigawatts d'électricité à de multiples stations de réception au sol. Toutefois, a indiqué M. Mankins, ce projet n'a pas eu de suites parce qu'aucun organisme n'est chargé à la fois de programmes spatiaux et de la sécurité énergétique.
Ces dernières années, on a fait des progrès techniques immenses dans ce domaine, a dit M. Mankins. Par exemple, le rendement des centrales solaires et de la transmission de l'électricité sans fil a plus que quadruplé, ce qui permet de réduire fortement la taille et le coût des centrales solaires.
M. Martin Hoffert, qui était à la tête du département de sciences appliquées de l'université de New York, a déclaré en août que la recherche-développement dans le domaine des centrales solaires spatiales pouvait se poursuivre avec les moyens techniques existants.
Un coût élevé
Toutefois, les frais demeurent élevés, ce qui pour effet de décourager le secteur privé et le secteur public d'investir dans ce domaine. Le coût le plus important a trait au transport du matériel et des dispositifs à bord de la navette spatiale : 20 000 dollars le kilogramme. Les partisans de l'énergie solaire spatiale estiment que ce projet pourrait devenir rentable si l'on pouvait abaisser les frais de transport à 200 dollars le kilogramme et les frais de montage en orbite à moins de 3 500 dollars le kilogramme.
Il est peu probable que l'on puisse y parvenir de sitôt. La construction d'un lanceur réutilisable, qui permettrait de réduire considérablement les coûts, exigerait des investissements du secteur public, a précisé M. Mankins. Toutefois, un petit projet de démonstration d'une centrale solaire spatiale pourrait contribuer à convaincre les sceptiques et à fournir de bonnes justifications sur le plan politique pour de tels investissements.
M. Mankins estime probable que Washington reprendra l'idée de centrales solaires spatiales à cause de la multitude de ses avantages et de ses applications, dont l'une serait de fournir de l'énergie aux engins spatiaux et aux installations d'exploitation commerciale des ressources de l'espace.
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