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Endorphine . La drogue du sportif .

Endorphine la course au bonheur

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Endorphine, l'hormone du bonheur pour le coureur à pied (P'tites

Endorphine, la drogue des sportifs (même débutant) | Course à pied ...

 

Tout est dans la tête !
La production d'endorphine, littéralement, morphine produite par le corps, est stimulée par le cerveau au niveau de l'axe hypothalamo-hypophysaire, bref dans la tête. Des travaux récents ont montré que certaines stimulations extérieures permettaient de la synthétiser en abondance, en tout cas suffisamment pour qu'elle ait une incidence sur notre vie quotidienne. Parmi ces stimulants, on retrouve le stress (pour les angoissés), le chocolat (pour les gourmands), mais aussi la pratique du sport (pour les avides de bien-être).

Un peu d'effort !
Ainsi, les sports d'endurance (course à pied, vélo…), de salle (cardio, fitness, aérobic…), mais aussi les sports avec des changements de rythme important (rugby, football…), amplifient cette sécrétion. Seule contrainte pour permettre à cet opiacé de se déverser dans tout le corps et jouer son rôle « d'élixir de jouvence » : l'effort doit être constant et se prolonger pendant au moins 30 minutes.

De l'effort à l'euphorie
C'est une demi-heure après l'arrêt du sport que la sensation de bien-être reste la mieux ressentie, provoquant ainsi un effet euphorisant. Ce formidable antistress, bien connu par tous les sportifs aguerris, joue aussi un rôle important dans la douleur. Certains appareils d'électrostimulation  proposent désormais un programme « endorphinique » agissant comme un anti-douleur en reproduisant les effets de la morphine médicale. Par ailleurs, la sécrétion d'endorphine semble avoir un effet positif sur la fatigue. En jouant un rôle de régulateur cardio-vasculaire, elle favorise alors la récupération à l'effort.

Du sport, pour le plaisir !
Malgré ses remarquables propriétés, certains pourtant n'hésitent pas à lui reprocher son cousinage avec la morphine, mettant en avant un risque de dépendance à cette substance pourtant endogène (produite par l'organisme). Mais pas de panique ! Même si après une période d'abstinence au sport la sensation de manque est réelle, elle est plus liée à un état de dépendance au bien-être qu'à une véritable action durable de l'endorphine sur l'organisme.
Avec tout ça le retour à l'activité physique devient une véritable partie de plaisir. Petit conseil tout de même : pour ne pas altérer la qualité de votre sommeil, évitez de faire du sport à une heure trop proche de celle du coucher.



05/06/2010
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