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Saddam Hussein capturé grace à la vision à distance ( Remote viewing )

 

L'incroyable remote viewing… - Le blog de MERLIN

Le Remote Viewing, ou vision à distance, est une perception extra sensorielle d'un lieu situé à distance. Les expérimentations menées par le SRI (un institut de recherche américain) dans les années 80 débutèrent avec le sujet Pat Price, un ancien préfet de police extrêmement doué et d'une grande précision dans ses descriptions...

Sept sessions sur neuf accomplies par Price furent des succès.

La perception extra-sensorielle a t elle permit d'arrêter Saddam Hussein ?
C'est ce qu'affirme un article paru dans le magazine Nexus (Mai Juin 2010) dont nous vous citons un extrait.


Le remote viewing, ou vision à distance, a été utilisé depuis les années 70 par des militaires, des espions et des archéologues.
En novembre 2003, le chercheur Stephan A. Schwartz anime un séminaire de remote viewing avec quelques dizaines d'étudiants à l'Atlantic University, en Virginie. Le deuxième jour, il leur soumet l'exercice suivant : « Décrire la localisation de Saddam Hussein lorsqu'il sera découvert et capturé par les forces de la coalition ». Les étudiants, qui n'ont été familiarisés avec le remote viewing que le jour précédent, doivent noter leurs impressions, faire éventuellement des dessins, etc. Les documents sont photocopiés et les originaux placés dans un coffre. Ensuite, toutes les données sont analysées à l'aide des techniques utilisées par la police pour reconstituer un événement à partir de plusieurs témoignages. Elles consistent notamment à retenir les éléments récurrents dans les données, ce qui fait « consensus », ainsi que les éléments qui semblent peu probables. La synthèse de l'analyse est formulée ainsi: «Saddam sera dans un souterrain ou une cave, que l'on atteint par un tunnel. Il sera derrière une maison ordinaire dans les abord d'un petit village à côté de Tikrit. La maison fera partie d'un petit complexc bordé d'un côté par une route et de l'autre par une rivière proche. Il y aur: de la végétation, notamment un grand palmier. Hussein ressemblera à ur£ personne sans abri, avec des vêtements sales et abîmés, et une barbe grise aura seulement deux ou trois partisans avec lui au moment de sa découvert, ainsi qu'une arme et beaucoup d'argent. Il sera provocant, mais il ne résistera pas et sera découragé ».

Le 14 décembre, soit quinze jours plus tard, la presse internationale annonce l'arrestation de l'ancien dictateur irakien. Il se trouvait dans un trou de souris de deuxmètres deprofondeur ». La ferme est située dans la région d'Al-Daour, à 30 km au Sud de Tikrit. Il était en possession de 750 000 dollars et d'un pistolet. Il était accompagné de deux partisans armés de kalachnikovs. Une vidéo le montre hirsute, barbu, le regard dans le vide et résigné… Le général Sanchez, à la tête du commando qui l'a localisé, explique que Saddam a été capturé « sur la base d'informations », sans préciser lesquelles. Une forte prime était en effet promise pour toute information permettant sa capture. Pourtant, la traque du dictateur a duré neuf mois, et s'est achevée seulement quinze jours après la session de Stephan Schwartz avec les étudiants.
Plus troublant, Alexis Champion, fondateur d'IRIS Intuition Consulting (voir interview pages suivantes), nous a confié que Schwartz avait dans sa boîte email toutes les photos de la progression du commando lors de la capture de Saddam. Schwartz, qui a reçu les photos après l'opération militaire, ne sait pas si l'armée a utilisé les informations obtenues lors des sessions menées avec les étudiants, mais il est intrigué par le peu de temps séparant celles-ci de la capture de Saddam…

En fait, que la session ait permis ou non l'arrestation n'est pas le plus important. La description et les dessins réalisés montrent surtout que l'analyse était pertinente et précise. L'un des dessins indique en effet le « trou de souris » ou Saddam était accroupi ainsi que le puits de ventilation qui lui permettait de respirer. L'ironie de l'histoire est que Stephan Schwartz est l'homme qui a largement développé le remote viewing (RV) pour des applications civiles, parallèlement aux militaires qui l'ont longtemps utilisé de leur côté pour le renseignement. Schwartz a fondé le groupe Mobius dans les années 70 et lancé en 1976 le projet Deep Quest. Il s'agissait de démontrer que le RV ne reposait pas sur une transmission par ondes électromagnétiques. Pour cela, l'équipe de Schwartz a embarqué à bord d'un sous-marin qui a plongé suffisamment profondément pour exclure toute possibilité de transmission électromagnétique. Plusieurs sessions de RV ont été réalisées dans ces conditions. Le projet fut notamment l'occasion de tester l'une des variantes du RV, à savoir l'Associative Remote Viewing (ARV). Puisque les communications ordinaires étaient impossibles, un code avait été établi avec les collaborateurs restés à terre. L'ordre de remonter en surface était associé à l'image d'un arbre et celui de rester en profondeur à celle d'un centre commercial. Les membres de l'équipe terrestre se rendirent au pied d'un arbre et les « viewers » du sous-marin reçurent correctement le message indiquant qu'il fallait remonter en surface.



30/09/2010
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